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bon ba voila terminer la saison j suis un peu decu que milan gagne la ligue des champions

Nousssssssssss RE VOILAAAAAAAAA encore plus en forme que jamais l'olympique de marseille va faire une seson hummmmm en beauté.
Ttout façon ses les milleurs hihihiihihi !!
a bientot et boncourage pour les autres equipes mdrrrrrrrrr

Samir Nasri a été élu meilleur joueur de Ligue 1 du mois de mars, avec 55% des voix.
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(Le Figaro ? Sports : Actualité sportive en direct)
Florent Malouda a reçu dimanche le trophée de meilleur joueur de Ligue 1. Teddy Richert, Samir Nasri et Gérard Houllier ont également été primés par leurs pairs.
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Auteur d'un but lors de la victoire de l'OM contre Sochaux (4-2), Samir Nasri est ravi de sa soirée.
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bonjour a tous :
voila nous sommes le samedi 4 aout 2007 l"olympique de marseille a jouer
aujourd'huit sont premiére math du championat contre strasbourg et il sont fait match nul 0 à 0 c pas mal pour un premiére match le principal c de ne pas perdre voila ! et allez l'om.

bonjour ,et oui c tjr moi betty folle de l'olympique de marseille je vais vous faire profiter des chansons que chantent les supporter marseillais:

Aux Armes, aux Armes
Aux Armes, aux Armes
Nous sommes les marseillais
Nous sommes les marseillais
Et nous allons gagner
Et nous allons gagner
Allez l'OM, allez l'OM
Allez l'OM, allez l'OM
hohohohohhohohohohohhoho

(Sur l'air de Tom Sawyer)
Les Winners, c'est à Marseille,
Le symbole de l'indépendance,
Ils sont nés sur les rives de la méditerranée,
Immigrés, mais à jamais Marseillais !
Les Winners...

Allez l'OM ! Allez l'OM !!
Du virage s'élèvera,
Une chanson que l'on aime,
Marseillais reprenons la,
Allez l'OM ! Allez l'OM !

Toutes les semaines, au stade on vient chanter,
Car c'est pour l'OM qu'il faut se défoncer,
Si tu ne chantes pas,
Alors rentre chez toi,
Tu n'es pas Marseillais, jamais tu le seras,
Bordeaux (ou Paris, Lyon, etc), vous êtes des ...

(Sur l'air de Santiano)
Allez l'OM, allez marseillais,
hissez haut, les drapeaux.,
Tous unis sous les mêmes couleurs,
le virage reprendra en coeur,
Allez l'OM, allez marseillais,
hissez haut, les drapeaux.,
Tous unis sous les mêmes couleurs,
le virage chante avec ferveur.

Un autre chant plus ancien, toujours lancé par les Ultras et repris dans tous les stades de France)
Quand le virage se met à chanter,
C'est tout le stade qui va s'enflammer.
Il faut chanter, il faut chanter,
Et notre équipe va gagner,
Allez, allez,
Allez, allez l'OM allez ...


(La reprise d'un refrain tout droit sorti du répertoire de Massilia Sound System)
De bon matin, j'ai rencontré le train,
Des marseillais qui partaient en voyage.
De bon matin, j'ai rencontré le train,
Des marseillais qui partaient en chemin.

voila sa suffit pour aujourdhuit et bon courage au autre aquipe cette année l'om et tres en forme .bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

Résumé (vécu du Virage Nord) : Match à 20H45, arrivée à 20H10 et on trouve des places biens situées, c'est pas beau la vie ? faut dire ce soir, y a pas l'air d'avoir grand monde, 45000 guère plus...
Les supporters rennais sont là : j'en compte 11! L'enjeu du match est très simple, si on gagne, on reprend (provisoirement) la place de leader!
Dans le virage, 2 rangées devant moi arrivent deux fofolles, elles vont mettre le Waïe durant tout le match, bravo les filles!


Coup d'envoi, je trouve les tifos plutôt pauvre, drapeaux au Virage Sud et un seul fumi au Virage Dépé, en fait les supporters faisaient la "grève" des tifos suite à la multiplication des matchs décalés mais je ne l'apprendrai que plus tard
5ème, L'OM attaque mais Rennes arrête cette action et lance une contre attaque, Jeunechamp fonce, perfore la défense marseillaise avec une aisance surprenante, il entre dans la surface, et sert Sorlin qui est tout seul au deuxième poteau!!! Le rennais tire mais a le bon gout de foirer complétement sa tentative...
7ème , bon l'OM attauqe à nouveau mais ce coup-ci Rennes ne nous contre pas, Fernadao a le ballon, il s'avance un peu et sert Manu qui s'enfonce sur son flanc gauche, Reveillere tente de le tacler, Manu l'évite, olé mon gars, Bichoco est dans la surface et récalme le ballon pleure pas mon gars, le voilà, dos au but l'ivoirien contrôle, élimine son défenseur d'un contrôle orienté et tire du plat du pied dans la foulée, et le plus incroyable c'est que c'est cadré et que cela va au fond des filets de Cech!!!! Yeah minot, une occase un but! OM 1 Rennes 0
12ème, Piquionne se fait oublier sur le côté gauche, il obtient la balle et part à la limite du hors jeu, il fonce vers les buts comme un missile et pénètre dans la surface à Mach3, VB arrive tacle et lui lève le ballon, non mais! Le ballon roule jusqu'à Didot qui ne fait pas prier et tire, Manu arrive et contre cette tentative! la défense est solidaire ce soir
19ème, L'OM obtient un coup franc, Fabio le tire, tête de Fernadao qui recentre ce ballon au milieu de la surface rennaise, grosse panique, Le Lan va pour dégager, loupe son tir, et le ballon traine aux abords de la surface bretonne, VB en hérite et tire d'instinct! Boum c'est au fond et Cech doit s'incliner à nouveau, la côte de VB va encore monter, déjà que MU le surveille, va falloir garder un type pareil, enfin bref OM 2 Rennes 0
28ème, Piquionne s'effondre dans la surface marseillaise et malgré les protestaions de Coach Vahid, c'est le rennais qui se prends un jaune pour simulation!
32ème, Perez s'enflamme sur son flanc droit et passe à Johansen (l'homme aux 4 poumons!) centre tendu en direction de la surface, arrivée de Bichoco qui place une tête rageuse mais Cech effectue une superbe envolée et empêche le 3-0
Plus rien ne se passe jusqu'à la mi-temps, l'OM domine et accule les rennais dans leur moitié de terrain

Mi-Temps : faudra qu'on m'explique, il y a au moins 10000 types dans ce virage, et il n'y a qu'une seule zone toilette ouverte... zarbi comme truc! Je viens de réaliser un truc, l'OM a désormais inscrit 3055 buts en D1 et passe le record historique de Saint Etienne (3053) et c'est Bichoco qui a inscrit son nom sur les tablettes comme auteur du record! Ah j'oubliais, il y a évidemment le traditionnel challenge Wanadoo qui se déroule!

55ème, Rennes a du se faire secouer car il attaque un peu, Sorlin déborde côté gauche, il élimine Perez et centre pour Delaye qui arrive à fond les manettes, tête du breton, le tir est cadré mais le Kamikaze ne s'en laisse pas compter et bloque cette tentative!
C'était en fait la dernière véritable occasion dangeureuse rennaise, désormais l'OM déroule et on se demande au vu du niveau de jeu produit ce soir comment cette équipe a pu perdre à Lyon!
63ème, Hemdani éblouissant ce soir, récupère le ballon dans les pieds d'Escudé le long de la ligne de sortie de but, il sert Sakho, qui vient de faire son apparition, au deuxième poteau, tir puissant mais le ballon est contré par le dos d'Arribagé!
72ème, Long ballon pour Bichoco, celui-ci faisant preuve de collectif ce soir remise de la poitrine pour Hemdani, passe aussitôt à Chapuis qui tire mais Cech se détend et sort le ballon du bout des gants
85ème, Entrée du jeune russe Sytchev sous les acclamations du public!
92ème, Olembé attaque sur le côté gauche, il sert Sytchev qui demande le une-deux à Sakho, cela fonctionne très bien et le nouvel attaquant marseillais obtient le ballon dans d'excellentes conditions, il tire mais Cech ne veut décidement pas s'en prendre 3 ce soir et sort le ballon!
93ème, ultime rush marseillais, profitant du corner obtenu par Sytchev, Marseille se montre à nouveau dangeureux, le corner est repoussé avec difficulté par le gardien tchèque, Johansen récupère le ballon, temporise puis sert Sakho, Lamine place une belle tête plongeante qui frôle les cages...

L'OM reprend à nouveau le fauteuil de leader et a montré un visage des plus sympathiques, J'ai vu une équipe solidaire qui a fait preuve d'un excellent collectif, il n'y pas de chèvre sur ce match (Ecker a joué un ton en dessous de ces coéquipiers, mais c'est vraiment histoire de pinailler...) L'Olympien du match est très dur à attribuer : VB est déclaré Homme du match mais Bichoco, Hemdani, Perez sont des nominés...
Chapuis est en passe de devenir l'attaquant le plus malchanceux de la D1, courage cyril ça va bien finir par rentrer! Le prochain match est face à créteil en coupe de la ligue, on va se les pulvériser! En championnat, ce sera Auxerre

valencienne olympique de marseille

Valenciennes a battu Marseille 2-1 en ouverture de la troisième journée du championnat.

La première période donnait lieu à une opposition équilibrée mais stérile. Seuls, les coups de pied arrêtés valenciennois permettaient de se rendre compte que Carrasso était bien dans son match. Le portier marseillais préservait ainsi le score vierge sur des têtes de Ouaddou (6e) et Carlos Sanchez (24e). Côté marseillais, on balbutiait son football, à l'image de l'entente Ziani-Cissé-Zenden, quasi inexistante. C'est donc logiquement que M. Hamer renvoyait les 22 acteurs au vestiaire.

La seconde période voyait Marseille poser davantage le jeu se montrer plus entreprenant, à l'image de Ziani qui plaçait une première banderille à l'heure de jeu. Ziani, qui trompait Penneteau à la 67e minute à la réception d'un bon centre de Cheyrou. On pensait alors le plus dur fait pour l'OM, c'était sans compter sur Savidan, muet depuis le 10 février dernier. L'attaquant nordiste allait sortir de son mutisme à la 62e minute, d'une belle tête piquée qui remettait les deux équipes à égalité. Un prémice de ce qui venait à la 87e: sur coup franc, Savidan y allait de son doublé d'une superbe frappe en force, crucifiant Carrasso et l'OM.

Car l'OM ne se remettait pas de ce but et concédait sa première défaite de la saison. Une défaite qui, combinée aux deux nuls déjà obtenus, ne donne que deux points aux Marseillais. Avec ce deuxième succès, Valenciennes, en revanche, fait le plein de confiance. N'est-ce pas, M. Savidan?

Statistiques
2 Buts 1
8 Tirs 8
6 Tirs cadrés 2
2 Tirs non cadrés 6
6 Corners 1
1 Hors-Jeu 0

--------------------------------------------------------------------------------

2 Cartons Jaunes 1

Mater 28', Jeovânio 38'
Cana 47'
57' BUT de Ziani pour Marseille! Valbuena négocie parfaitement son premier ballon, il trouve Cheyrou en profondeur dans la surface. L'ex-auxerrois lève la tête et centre ne retrait vers Ziani, qui trompe Penneteau du droit. 1-0 pour Marseille, voilà le premier but de Marseille cette saison!

62' BUT de Savidan pour VA! Roudet combine avec Rippert côté gauche, Beye s'interpose mais effectue une relance directement dans les pieds de Roudet, qui accélère et centre. Savidan s'élève et place une tête piquée que Carrasso ne peut capter. Le premier but de Savidan depuis le 10 février remet les deux équipes à égalité!

87' DOUBLE de Savidan pour Valenciennes! Pujol obtient un coup franc aux 20 mètres pour un tacle de Rodriguez. Un peu décalé côté gauche, Savidan place une frappe monstrueuse dans la lucarne droite de Carrasso. 2-1 pour Valenciennes, et doublé de Steve Savidan!

Le doute façon Marseille
Tandis que l'OM se dirigeait vers un succès tranquille, Nancy a su profiter de la fébrilité olympienne dans la dernière demi-heure pour arracher le point de résultat nul (2-2) et ainsi remettre le doute dans les esprits phocéens.
Compte rendu du match
A l’heure où la majorité des favoris de la Ligue 1 déçoivent (Paris, Lyon, Lens), Marseille, un des autres cadors du championnat ne déroge pas à la règle. Avec deux petits points inscrits en trois matches, les hommes d’Albert Emon n’avaient déjà plus le droit à l’erreur à l’heure de recevoir Nancy, une des formations surprises de ce début de saison, puisque toujours invaincue. Pour parvenir à offrir du spectacle et les trois points au Vélodrome, les Phocéens pouvaient compter sur les retours de Nasri et Niang, tandis que Moussilou faisait sa première apparition sur le banc.

Niang délivre le Vélodrome
Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que dans les premières minutes, ni le Sénégalais ni l’international français ne pouvaient influer sur un triste jeu marseillais. Complètement perturbé par un manque d’automatismes, ajouté à un gros pressing lorrain, les hommes d’Albert Emon déjouaient complètement, provoquant même les premiers sifflets du Vélodrome. Presque logiquement, les visiteurs se procuraient donc les premières opportunités, avec notamment une frappe de Kim, profitant de la nonchalance défensive de Beye, mais Carrasso, pour sa part, était parfaitement vigilant (15e). Les hostilités étant enfin ouvertes, les Phocéens, à leur tour, commençaient à approcher du but de Bracigliano. Sauget passait tout près de les remettre en selle avec une relance hasardeuse directement reprise par Niang, mais le ballon échouait à côté (21e). Berenguer, en revanche, n’avait pas la chance de son partenaire, puisque sa passe, interceptée par Taiwo qui centrait parfaitement, débouchait sur le premier but de la saison de Mamadou Niang (1-0, 22e). Aussi survoltés que les Lorrains étaient déstabilisés, les Marseillais se trouvaient en état de grâce durant quelques minutes. Ziani, tout d’abord, devait à un bon retour de Puygrenier de ne pas doubler la mise (24e). Cissé manquait de réussite sur un lob astucieux (27e), tandis que Niang, par deux fois, loupait le coche. Sur une tête à côté d’abord (33e), puis sur un face-à-face perdu devant Bracigliano ensuite (34e). Malgré un soutien sans faille du Vélodrome, les hommes d’Albert Emon avaient là loupé plusieurs occasions de doubler la mise, et Kim, à l’entrée du temps additionnel, passait tout près de glacer l’assemblée. Heureusement pour les locaux, Carrasso sortait le grand jeu sur la tête à bout portant du Brésilien (45e).

La combativité nancéenne
Au retour des vestiaires, les Marseillais semblaient décidés à rapidement faire le break. Pour y parvenir, les Olympiens allaient mettre à peine quatre minutes. Suite à une remontée de balle remarquable de Ziani et un ballon millimétré dans la profondeur, Djibril Cissé, d’une frappe croisée impeccable, donnait un avantage conséquent aux siens (2-0, 49e). Portés par un public heureux de voir enfin du jeu chez leurs protégés, les partenaires d’Habib Beye manquaient sur l’action suivante le but du break. Ziani, lancé sur le côté droit de la surface, oubliait Niang et Cissé seuls plein axe, pour frapper directement dans le petit filet (51e). Passé ce terrible orage sur leurs buts, les Nancéiens commençaient au fil des minutes à sortir la tête de l’eau. Et Lorik Cana, d’un tacle par derrière sur Hadji, leur donnait un drôle de coup de main. M. Poulat n’hésitait en effet pas à designer le point de penalty et Gavanon, d’une frappe croisée, ramenait les siens à un but d’écart (2-1, 63e). La rencontre changeait alors singulièrement de physionomie. Le Vélodrome commençait à s’éteindre, pour trembler à chaque action et, sur la pelouse, les Phocéens multipliaient les approximations. Et, comme un fait établi, les Lorrains allaient être récompensés à dix minutes de la fin. Fortuné, profitant d’une absence de Taiwo, filait côté droit. Son centre à ras de terre était repris par Hadji, qui ne manquait pas l’occasion de remettre les compteurs à égalité (2-2, 80e). Logiquement frustrés, les Marseillais tentaient tant bien que mal de réagir dans un Vélodrome où la bronca se dessinait doucement. Néanmoins, Cissé, parti dans le dos de la défense, butait sur Bracigliano avant que Ziani ne frappe au dessus (84e). Et pour couronner le tout, les Phocéens allaient toucher les montants par deux fois sur la même action. Dans les arrêts de jeu, Cana plaçait une tête sur la barre de Bracigliano. Le ballon rebondissait sur le dos du portier nancéen avant d’échouer…sur le poteau ! (90+3e). La chance, sur ce coup-là, n’a pas souri aux Marseillais qui pouvaient enrager au coup de sifflet final. Au contraire des Nancéiens qui ont réussi le coup parfait, et reviennent en tête de la Ligue 1.

Le jeu et les joueurs
Pour cette rencontre, Albert Emon pouvait enfin compter sur la totalité de son effectif. Le onze de départ correspondait donc bel et bien à l’équipe type imaginée par le technicien phocéen. Et les nouvelles ont été rassurantes…durant une heure. Après une mise en route difficile, les Olympiens ont su développer de belles actions tout en étant réalistes….avant de sombrer. Sur le plan individuel, on attendait les retours de Niang et Nasri dans le onze. Si le Sénégalais a rendu une très bonne copie avec de l’activité et de la réussite devant le but, le meneur de jeu de l’équipe de France a quelque peu déçu et son impact sur le jeu a été faible dans l’ensemble. Cissé et Ziani, pour leur part, ont laissé entrevoir une belle entente. Enfin, derrière, après une bonne entame, l’arrière garde a sombré, et notamment Taiwo, coupable sur le deuxième but nancéien.

Du côté de Pablo Correa, le sentiment pourra être mitigé. La satisfaction d’avoir ramené un point après avoir été mené de deux buts évidemment, mais également le sentiment que les erreurs du début auraient pu être évitées, et donc la victoire possible. Dans l’ensemble, les Lorrains ont tout de même subi, et se sont principalement montrés dangereux en contre. Au niveau personnel, on relèvera la belle activité de Dia, poison constant sur le côté. L’international Espoir risque cependant d’être absent un certain temps, visiblement victime d’un claquage. Hadji a pour sa part été décisif. C’est lui qui obtient le penalty avant d’inscrire le second but. Petite déception en revanche pour la paire Berenguer-Gavanon. Le premier a commis une erreur offrant le premier but aux Marseillais, tandis que le second n’aura jamais eu sa précision habituelle sur coup de pied arrêté.

Le résumé :

19ème : Bon mouvement collectif des marseillais côté gauche avec un une - deux entre Cheyrou et Nasri, l’ancien auxerrois centre pour Niang dont la frappe s’envole dans le ciel de Normandie.

32ème : Débordement de Taiwo côté gauche, il surprend les Caennais en repiquant au centre et en frappant du pied droit ... dans le petit filet.

42ème : Premier but marseillais ! Coup franc lointain de Cheyrou, Niang est trop court de quelques centimètres mais pas Rodriguez qui place une belle tête pour battre le gardien Caennais qui s’est planté au niveau de sa sortie.

Mi temps : Pour la troisième fois en trois matchs l’OM mène au score mais doit rester très vigilant en se rappelant des scénarios précédents. Souhaitons que les marseillais continuent à aller de l’avant pour faire le break et n’aient pas la mauvaise idée de se recroqueviller dans leur camp.

52ème : L’OM est encore dangereux sur un coup de pied arrêté : Ziani tire un coup franc sur la tête de Niang mais, au lieu d’aller dans les filets, la balle flirte avec le poteau.

54ème : Et de 2 !! Sur un centre de Cissé, Nasri manque le ballon, c’est Niang qui le récupère et qui avec beaucoup de calme bat tranquillement le gardien Caennais. L’OM creuse l’écart.

56ème : Grosse erreur de Ziani : alors que Cissé est démarqué face au but, l’international algérien la joue « perso » et sa frappe est détourné par Planté.

66ème : Très actif sur son côté gauche depuis le début du match Florentin frappe dans un angle fermé, Givet détourne le ballon mais le danger se rapproche.

70ème : Les Caennais sont de plus en plus pressants : Deroin adresse une belle frappe travaillée qui oblige Mandanda, impeccable, à détourner le ballon sur sa barre. Premier avertissement sans frais ...

72ème : Festival de Mandanda qui repousse coup sur coup un tir d’Hengbart et une tête de Samson.

73ème : Mandanda 2 - 0 Deroin : Sur un coup franc du Caennais le portier marseillais dévie à nouveau le ballon sur sa barre.

80ème : Centre de Taiwo pour Cissé mais l’attaquant marseillais, pas assez spontané, contrôle la balle avant de frapper sur le gardien caennais.

92ème : Réduction du score caennaise. Une frappe de Compan est repoussée par Mandanda dans les pieds de Samson qui n’a plus qu’à pousser le ballon dans les filets. Encore quelques secondes de souffrance ...

94ème : Fin du match. Les Marseillais n'ont pas toujours été impressionants, ils ont parfois été bousculés mais ont su hisser leur niveau de jeu pour contrôler sans trop de frayeur une équipe caennaise assez limitée. Il reste du travail à Albert Emon pour que l'OM 2007 - 2008 devienne une bonne équipe mais cette victoire (et la confiance qui va avec) est très précieuse. Mention spéciale à Mandanda qui a brillé pour sa première.


Les notes des olympiens :

Mandada 8 Gros match du gardien marseillais, suppléant de Carrasso. Peu de travail en première mi temps et un peu de fébrilité mais plusieurs arrêts décisifs en deuxième mi temps, alors que l’OM souffrait. Ca demande confirmation mais c’est très prometteur ...

Bonnart 5,5 Match difficile pour le remplaçant de Beye. Les Caennais ont souvent attaqué de son côté et Florentin était très remuant mais Bonnart a fait un match sérieux et solide.

Rodriguez 6 Match assez moyen au niveau défensif avec quelques petites erreur pour l’ancien monégasque. Rien de très grave néanmoins et surtout son but vaut de l’or ...

Givet 5,5 A l’image de son compère Rodriguez il a commis quelques erreurs, notamment au niveau du placement. Il est encore en rodage mais devrait vite monter en puissance.

Taiwo 7 Très bon match pour le nigérian. Fautif sur l’égalisation nancéenne la semaine passée il s’est bien repris en se montrant très solide défensivement, il a « éteint » Gouffran. Cerise sur le gâteau il a souvent amené le danger dans le camp caennais et aurait pu donner une passe décisive à Cissé.

Cana : 5 Début de saison un peu laborieux pour le capitaine du jour. Il se bat toujours mais n’a pas le rayonnement de la saison passée. Sa nervosité est toujours aussi palpable et il a de la chance que l’arbitre n’ait pas vu un coup de coude vengeur adressé à Jemaa ...

Cheyrou 7 Voilà une recrue qui ne déçoit pas. Une passe décisive pour Rodriguez, il est aussi à l’origine du but de Niang. On l’a souvent trouvé au coeur des actions marseillaises côté gauche, il a bien combiné avec ses partenaires.

Ziani : 5 Quasiment invisible en première mi temps, il s’est bien repris par la suite mais a souvent effectué les mauvais choix dans le dernier geste. Ce n’est pas Cissé, oublié par Ziani alors qu’il était seul dans la surface qui dira le contraire ...

Nasri : 4,5 Visiblement il n’a pas retrouvé son niveau physique. Il n’a pas beaucoup pesé dans le jeu même si sa bonne volonté n’est pas cause. Comme il n’a évidemment pas perdu ses qualités techniques il faut simplement être un peu patient ...

Niang : 7,5 Dans la lignée du match contre Nancy on a encore eu droit à un très bon Niang : il a pratiquement été présent dans toutes les actions dangereuses de l’OM et son but récompense une prestation très satisfaisante.

Cissé : 6 Match contrasté pour le grand blond aux chaussures oranges. Il donne la passe décisive à Niang, s’implique plus que d’habitude dans le collectif ... mais ne marque pas. Oublié par Ziani une fois ou manquant de lucidité à plusieurs reprises, le buteur qu’il est doit être un peu frustré.

A suivre : La semaine folle de l’OM se poursuit avec la réception de Nice Mercredi et un déplacement au Parc des Princes Dimanche. Si on ajoute la fin du mercato Vendredi à minuit et le tirage au sort des poules de la ligue des champions, on sait que l’actualité marseillaise sera brûlante. Maintenant que l’OM a réappris a gagner, on espère que les victoires vont s’enchaîner pour aborder la C1 en étant dans une position confortable en championnat. Dans les trois premiers par exemple ...

L'OM n'y arrive pas
Battu par Nice (0-2) pour la première fois en trente ans au Vélodrome, l'Olympique de Marseille a affiché une nouvelle fois ses limites offensives et défensives. Une réaction s'impose avant le déplacement dimanche, au Parc des Princes.

Par Julien Pedebos

Compte rendu du match
Quatre jours après sa première victoire de la saison sur la pelouse de Caen (2-1), l’Olympique de Marseille retrouvait ce mercredi son Vélodrome pour la réception de l’OGC Nice. Face à une formation qui n’a plus gagné en terre phocéenne depuis plus de trente ans, les Olympiens n’avaient pas le droit à l’erreur même si Djibril Cissé, en plus de Cédric Carrasso et Habib Beye, était absent.

Mandanda sauve la maison phocéenne
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que durant les premières minutes, l’absence du numéro 9 olympien allait clairement se faire sentir. Niang seul devant, l’attaque olympienne semblait manquer singulièrement de poids et du coup, grâce à de belles récupérations de balle, les Aiglons pouvaient se créer les premières occasions. Bamogo, le premier, entrait sur le côté droit de la surface avant de frapper, mais le ballon manquait d’un rien le cadre de Mandanda (11e). Par la suite, cependant, et grâce à un pressing plus imposant, les Olympiens commençaient à montrer le bout de leur nez, notamment par Cana, qui sollicitait Lloris d’une frappe à ras de terre (18e), avant que Nasri ne sollicite à son tour le portier phocéen d’une frappe enroulée (21e). Pour autant, les hommes de Frédéric Antonetti ne se laissaient pas faire et continuaient à s’approcher assez facilement des buts de Mandanda, l’arrière-garde olympienne, amputée de Givet au bout d’un quart d’heure de jeu, donnant des signes de fébrilité. Faty, tout d’abord, contrait in extremis une frappe d’Ederson (24e) avant que Mandanda, par deux fois, n’intervienne avec autorité devant le numéro 10 niçois, qui profitait à chaque fois de l’alignement suspect de la défense phocéenne (26e, 29e). Dans le dernier quart d’heure, les deux équipes se procuraient chacune des opportunités, notamment sur des frappes lointaines. Taiwo, tout d’abord, expédiait un coup franc un petit mètre à côté (37e). Cana, pour sa part, bénéficiait d’un bon décalage de Nasri mais son ballon enroulé manquait de peu le cadre (42e). La dernière opportunité de la première période était à mettre à l’actif des Niçois. Hellebuyck, sur un coup franc lointain, tentait un lob astucieux sur Mandanda, mais le ballon, légèrement détourné par le portier phocéen, passait juste au dessus de la barre (44e).

Hognon et Hellebuyck crucifient l’OM
Au retour des vestiaires, les Aiglons semblaient revenir avec des intentions plus affirmées que les Phocéens. A peine cinq minutes et Ederson, sur un coup franc lointain, obligeait Mandanda à une superbe claquette (50e). Le portier phocéen, qui pensait avoir fait le plus dur, n’avait cependant pas fini de voir le danger s’approcher. Sur le corner suivant, Echouafni détournait le ballon au premier poteau. Celui-ci atterrissait sur Hognon qui, à bout portant, ne manquait pas l’occasion de fusiller Mandanda (0-1, 51e). Logiquement assommés, les Phocéens tentaient cependant de réagier tant bien que mal. Pourtant, le jeu marseillais, fait uniquement de centres sur lesquels ni Moussilou ni Niang ne parvenaient à devancer la charnière centrale Hognon-Kanté, n’inquiétait guère les Niçois qui sur plusieurs contres s’approchaient de la cage de Mandanda. Hellebuyck, notamment, tentait une reprise acrobatique suite à un centre venu de la gauche, mais l’ancien Parisien manquait le cadre (65e). La seule véritable alerte sur le but de Lloris, dans cette seconde période, était la cause…d’une mésentente niçoise. Sur un ballon venu de la droite, Kanté, Lloris et Hognon se gênaient, mais la balle finissait finalement sa course au dessus de la barre (80e). Le sort était donc définitivement contre de tristes Marseillais qui, presque logiquement, allaient encaisser un but à deux minutes de la fin. Un contre lancé sur un superbe grand pont de Koné sur Rodriguez permettait à Hellebuyck, à la limite de la surface, de fusiller Mandanda (88e). Le public pouvait donc quitter, avant le terme de la rencontre, le Vélodrome. Ses protégés sont loin d’avoir réglé leurs problèmes d’automatismes, que ce soit offensifs que défensifs. Pourtant, il va falloir réagir, car dans quatre jours, c’est à Paris qu’il faudra se déplacer, et les supporters risquent d’être beaucoup plus véhéments en cas de défaite.

Le jeu et les joueurs
Pour la première fois de la saison, Albert Emon devait composer avec l’absence de Djibril Cissé à la mointe de l’attaque. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le numéro 9 phocéen a laissé un grand vide. Ajoutons de grosses lacunes défensives et les raisons de la défaite sont toutes trouvées. Sur le plan individuel, Niang, placé au poste d’avant-centre, a donc déçu. Complètement étouffé par la charnière niçoise, le Sénégalais doit attendre avec impatience le retour sur son flanc gauche. Samir Nasri, pour sa part, n’a pas montré beaucoup plus. Logiquement beaucoup plus surveillé, le meneur international a vu le jeu passer souvent sur les côtés, et donc très peu par lui. Enfin, la blessure de Givet au bout de dix minutes a fait très mal, l’entente Faty-Rodriguez laissant largement a désirer.

Quelle belle prestation en revanche du côté niçois ! Bien positionnés derrière, efficaces en contre, les hommes de Frédéric Antonetti ont joué le coup à la perfection. Un but en début de seconde période, et un en fin pour tuer le suspense, Nice tient son match référence. Au rayon des performances personnelles, énorme match du duo Kanté-Hognon. Très complémentaires, les deux hommes ont parfaitement contrôlé les offensives phocéennes, le second nommé se permettant même d’ouvrir le score. Au milieu de terrain, David Hellebuyck a parfaitement su gérer son couloir, en plus d’un but plein de lucidité. Enfin, le duo Koné-Bamogo a montré de belles promesses lors de cette rencontre. L’Ivoirien notamment qui, a plusieurs reprises, est apparu insaisissable.

PARIS (AFP) - Le Paris SG et l'Olympique Marseille, les frères ennemis du football français se sont mutuellement rendus service dimanche lors de la 7e journée de L1 (1-1): le PSG s'est rassuré sur son niveau de jeu alors que l'OM a étouffé une crise en prenant un point au Parc des Princes après sa débandade face à Nice.

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Une fois n'est pas coutume... A sa sortie du terrain, l'entraîneur parisien Paul Le Guen se félicitait du jeu produit par ses joueurs qui ont dominé la rencontre et produit du beau jeu par intermittence avec notamment un Jérôme Rothen qui peut à nouveau prétendre à l'équipe de France s'il multiplie de telles performances.

De l'autre côté, les Marseillais peuvent eux se réjouir d'avoir pris un point au Parc des Princes après leur calamiteuse prestation à domicile contre Nice. Même s'ils ont été largement dominés après le premier quart d'heure, ils ont tenu le choc et se sont créé quelques belles occasions qui auraient pu leur donner la victoire. Les deux attaquants dont on raillait récemment la stérilité, Péguy Luyindula et Djibril Cissé ont tous deux marqué au contraire de Pauleta, remplaçant au début de la rencontre et qui n'est entré qu'à la 80e minute.

A noter aussi la présence exceptionnelle du président de la République Nicolas Sarkozy, qui n'a toutefois pas voulu révéler sa préférence pour une équipe alors qu'il se rendait épisodiquement au Parc pour voir le PSG avant d'être président.

Il y a toutefois des ombres au tableau pour les deux clubs: les deux "grands" PSG et OM pointent respectivement à la 13e et la 15e place avec 8 et 7 points... alors que le leader surprise Nancy en compte le double.

Nancy qui continue de surprendre reste la seule équipe invaincue. Tombeur de Saint-Etienne (2-0), les hommes de Pablo Correa comptent deux points d'avance sur leurs poursuivants Bordeaux et Valenciennes alors qu'ils comptent même un match en moins au compteur.

L'OL, qui comme Nancy compte un match en moins, est remonté à la 5e place mais a eu vraiment très chaud. Les Lyonnais, sifflés par leur public de Gerland, ont étaient menés 2 à 0 jusqu'à la 71e minute. Ils ont renversé la vapeur en 7 minutes grâce notamment à des omniprésents Karim Benzema (1 but, une passe décisive et participation au premier but) et Juninho (2 passes décisives, et participation au 3e but). L'attaquant français s'empare du même coup de la tête du classement des buteurs avec 5 réalisations.

Les joueurs ont finalement été ovationnés par les spectateurs de Gerland mais le coup est passé près. Symbolique à la fois des difficultés de l'OL en ce début de saison mais aussi de ses immenses possibilités.

Le choc Bordeaux-Monaco a lui tourné à l'avantage des Girondins qui ont donné une leçon de réalisme à leur ancien coach Ricardo (2-1). Les Girondins sont 3e à égalité de points avec Valenciennes et un point devant leur victime du jour.

Rennes (6e avec 12 points) et Lille (11e, 8 points) se sont neutralisés (2-2). Valenciennes lui n'a pu faire mieux qu'un match nul à domicile face à Metz pour un des deux scores nuls et vierges du jour. Strasbourg (8e) et Lorient (7e) quant à eux gardent le cap (0-0).

Nice, 9e, s'est donné un peu d'air au classement grâce à un beau but de Koné face à Lens, qui a raté un penalty et où l'effet Papin s'est estompé après le succès contre les Young Boys. Les Nordistes attendent toujours leur première victoire.

Dans le bas du tableau, rien ne va plus pour Auxerre, qui a encore perdu, cette fois à Toulouse (2-0) et est désormais relégable. Le duel de bas de classement entre Caen et Sochaux s'est soldé par un nul 2-2

l'equipe de france:
C'est peu de dire que l'équipe de France ne s'attendait pas à vivre mercredi pour ses retrouvailles avec le Parc des Princes semblable désillusion. Aussitôt après la défaite face à l'Ecosse (0-1), joueurs et entraîneur semblaient sonnés, incapables d'expliquer comment ce match, qu'ils avaient plutôt attaqué par le bon bout, leur avait échappé. Et s'ils insistaient tous sur le contraste entre leur manque de chance et l'insolente réussite de leurs adversaires, il ne s'en trouvait aucun pour se pencher sur les insuffisances tricolores. Et pourtant, elles ont existé...

Trezeguet et les Bleus ont pris un coup sur la tête (Reuters).Semaine morne pour le sport collectif français! Cinq jours après la terrible désillusion qui a frappé le XV de France en ouverture de sa Coupe du monde de rugby face à l'Argentine (12-17), c'est au tour des footballeurs d'être tombés de très haut mercredi soir, victimes cette fois d'Ecossais aussi morts de faim que ne l'étaient les Pumas (0-1). A y regarder de plus près, les similitudes sont nombreuses entre ces deux revers: à Saint-Denis comme au Parc des Princes, les Bleus se présentaient en toute confiance, confortés par une préparation a priori sans faille et des sorties précédentes convaincantes (face à l'Angleterre et au Pays de Galles pour les rugbymen, en Slovaquie et en Italie pour les footballeurs).

A l'arrivée, le même coup de massue a frappé les perdants, piégés tactiquement par des adversaires ayant minutieusement préparé leur affaire. Au moment de commenter ce revers, on retrouvait ainsi presque les mêmes mots qu'au Stade de France, teintés d'une certaine incompréhension face à un revers que les deux camps tricolores n'avaient nullement anticipé. Un des rares joueurs à s'épancher dans les couloirs du Parc des Princes, Lilian Thuram semblait avoir du mal à réaliser ce qui venait de lui tomber sur la tête: "Ce résultat est une catastrophe puisqu'il était fondamental de gagner face aux Ecossais. Malheureusement, on prend ce but assez incroyable. A ce qu'il paraîtrait, c'est le football, parfois. C'est assez difficile à croire. Il y a un peu de colère, car au départ, on joue pour gagner, vous savez que c'est important pour la qualification et à l'arrivée, on perd 1-0. Donc, c'est un peu normal qu'on ne soit pas très contents après le match."

Quelques mètres sous le défenseur du Barça, dans l'auditorium, Raymond Domenech servait le même discours, refusant de tirer sur ses joueurs pour mettre ce résultat sur le compte d'un déficit de chance: "Dans le jeu, on a fait ce qu'il fallait, il y a eu de la construction, des occasions, des frappes, mais pas la petite réussite qui fait que ballon revient au bon endroit, que la frappe est cadrée ou pas contrée. Je n'ai rien à reprocher aux joueurs, ils ont poussé, tenté, il a manqué la réussite, un petit truc." On peut en partie rejoindre le sélectionneur dans son analyse et il faut reconnaître à ces Bleus, contrairement à leurs homologues de l'Ovalie, des intentions de jeu, un souci d'écarter, de faire vivre le ballon, de percuter, principalement par Ribéry, sur lequel se sont sans doute un peu trop appuyés ses partenaires sur l'air de «Je te passe le ballon, tu te débrouilles pour faire la différence», surtout en fin de match.

Vraiment irréprochables ?

Malgré cela, c'est l'Ecosse qui repart du Parc avec trois points et un horizon dégagé, tandis que celui des Bleus, même s'il n'est pas bouché, s'est considérablement assombri. A voir les réactions des journalistes écossais qui n'hésitaient pas à évoquer l'un des succès les plus marquants de l'histoire du foot écossais sitôt le match terminé, on mesure mieux la portée de la surprise qui a saisi les deux camps mercredi, bonne d'un côté, mauvaise de l'autre. Et pourtant, ce match avait des airs de déjà-vu, puisqu'on a eu l'impression de se revoir onze mois plus tôt à Glasgow, lorsque Raymond Domenech avait subi sa première défaite en match officiel avec les Bleus sur un scénario identique: à savoir des Français dominateurs, indéniablement plus techniques mais inefficaces, face à des Ecossais concentrés sur une tactique unique: harceler le porteur du ballon, défendre à dix et compter sur un coup de pied arrêté ou du sort pour marquer.

Ribéry a porté sur ses épaules les espoirs offensifs des Bleus, trop ? (Reuters)A l'aller, c'est sur une phase arrêtée que Caldwell avait trouvé l'ouverture, au retour, c'est un improbable exploit de McFadden qui a fait basculer le sort de la rencontre. Les Bleus ont-ils pour autant été irréprochables, comme l'a souligné Raymond Domenech? Non, car sur le but, l'attaquant d'Everton reçoit un dégagement de son gardien Gordon (irréprochable, lui) sans être attaqué, il a tout le temps de se retourner pour frapper les yeux fermés, Landreau commettant sur le coup une faute de main préjudiciable. Irréprochables, les Bleus ne l'ont pas été non plus après le but, incapables de hausser le ton pour faire craquer la muraille en «Tartan», malgré les entrées de Nasri (à la place de Vieira apparu bien juste physiquement) et Benzema, qui a remplacé Abidal plutôt que Trezeguet, provoquant un sacré embouteillage dans la surface adverse.

C'est toujours facile de critiquer après-coup, surtout quand le résultat vous donne raison, mais sur ce match, Nasri a sans doute honoré sa 5e sélection un peu tard, tandis que le dispositif tactique, le même qu'à l'aller, en 4-4-2, s'est avéré trop prévisible pour l'adversaire qui s'est du coup contenté de rester bien en place défensivement.

Anelka : "On était les plus forts"

Reste que le frustration était grande chez les Bleus après ce match, les joueurs ayant la fâcheuse impression d'être tombés sur moins forts qu'eux : "Nous avons fait un super match et on a montré qu'on était plus forts, mais dans le football, il faut accepter ce genre de scénario et la défaite qui va avec. Mais ce n'est pas évident, on méritait la victoire. Les Ecossais ne font qu'un seul tir...", regrettait ainsi Trezeguet, rejoint par celui avec lequel l'entente a été loin d'être évidente en pointe, Anelka: "On était les plus forts mais ce n'est pas rentré... On ne peut rien faire contre une frappe de 30 mètres, il faut l'accepter. On s'est montrés supérieurs à eux, même à l'aller, mais c'est un peu notre bête noire. En tout cas, on n'a pas vu venir ce scénario-catastrophe, comme le but écossais..."

Voilà en tout cas cette équipe de France dans le même cas de figure que sa «cousine à quinze», c'est-à-dire contrainte de réaliser un carton plein pour se qualifier, mais avec encore son destin entre les mains. "Nous ne sommes pas inquiets, si nous gagnons nos trois prochains matches, nous sommes qualifiés, on est bien conscients de ça", confiait Trezeguet, tandis que Raymond Domenech, réellement dépité après ce revers qu'il n'avait pas vu venir, concluait: "Une qualification pour l'Euro, ça ne se gagne pas les doigts dans le nez, ça s'arrache." Pas de doutes, si ces Bleus veulent connaître les verts pâturages d'Autriche et de Suisse, il va falloir effectivement qu'ils s'arrachent. France-Ecosse: Les Bleus KO !

ben pour moi ma meilleur équipe c REAL de MADRID...ouffff hureusement aumoin cette anné la chompiona ......ehhh et pr le meilleur joueur bien sur il restera tjr zizouuuuuuuuuuuuu

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OM 1-2 TFC : Nouvelle défaite au Vélodrome
15/09/07 - OM 1-2 TFC

Les Olympiens se sont inclinés (2-1) face à Toulouse ce samedi au Vélodrome. Le handicap des deux buts encaissés en première période fût trop lourd et le but de Zubar en fin de partie n'a pas pu changer la donne.


OM 1-2 TFC
0-1 Emana (11e)
0-2 Elmander (37e)
1-2 Zubar (90e)

Une confirmation était attendue. Elle n’est malheureusement jamais venue. Pire, les Olympiens ont encaissé leur deuxième défaite de rang au Vélodrome après Nice il y a quinze jours. La faute peut-être à un manque de tranchant dans les occasions marseillaises de début de match. La faute aussi à un réalisme chirurgical de la part de Toulousains auteurs de deux actions pour deux buts en première période par Emana et le redoutable Elmander. La faute enfin à une équipe qui a manqué de liant dans son jeu et qui a souffert défensivement quand le danger s’est présenté. De fait, le but en force de Zubar en toute fin de partie arrivait bien trop tard pour changer l’issue du match.
Mais, surtout en première mi-temps, cet OM ne fût pas vraiment veinard. En témoigne leur début de match enjoué avec la première titularisation de Arrache sur l’aile gauche. La tête de Niang (4e), trop enlevée, et le tir croisé de Cheyrou (7e) étaient alors les illustrations de la bonne entame et des intentions joueuses de l’équipe. Mais, sans s’affoler, les violets lançaient leur première banderille. Sur un coup franc vite joué par Batlles, Elmander et Emana jouaient le une-deux et le Camerounais de venir tromper Mandanda, sorti dans ses pieds, d’un piqué bien senti (0-1, 11e). Il était imité vingt-cinq minutes plus tard par son serviteur du premier but. Elmander chipait le ballon dans les pieds de Nasri et ajustait en force son tir croisé pour le but du break (0-2, 37e). Malheureux Samir Nasri, lui qui avait lancé une amorce de rébellion quelques minutes auparavant. Il avait mis Douchez en difficulté d’un tir depuis l’entrée de la surface sur lequel le portier du TFC s’était étendu de tout son long (33e). C’était lui aussi qui lançait un missile du gauche des 25 mètres dont la trajectoire ne passait pas si loin du poteau droit toulousain (35e). Hélas, cette prise en main du jeune marseillais fût stoppée net par le coup de poignard du Suédois.
Après la pause, les espoirs restaient permis mais Toulouse ne se risquait guère à jeter ses forces en attaque. Résultat : une mi-temps fermée et très peu d’occasions à se mettre sous la dent à part peut-être le coup franc au-dessus de Nasri (63e) ou la tête Cissé qui ne parvenait pas à dévier un centre de Taiwo (77e). Pas assez d’autant que le TFC passait très près du troisième mais Mandanda gagnait son face à face avec Emana, seul au point de penalty (60e). Les affaires olympiennes se compliquaient même encore un peu plus quand Rodriguez, coupable d’un geste d’énervement sur Mansaré, était exclu (66e). A dix contre onze, ils ne le restaient pas bien longtemps puisque le défenseur de Toulouse Ilunga sortait lui aussi prématurément pour un deuxième carton jaune quelques minutes plus tard (74e). Le but rageur de Zubar (1-2, 90e), qui reprenait un ballon mal dégagé suite à un corner de Nasri, faisait naître un maigre espoir. Surtout quand le speaker du Vélodrome annonçait quatre minutes d’arrêt de jeu. On aurait pu croire à une impensable égalisation mais il n’en fût rien… L’air de la Champions League mardi contre Besiktas aura pour objectif redonner un peu de baume au cœur à ces Olympiens profondément déçus.

UEFA champions league 07/08

22:47 Merci d'avoir suivi cette rencontre en notre compagnie. Excellente soirée à toutes et à tous.
22:46 Profitant du nul entre Porto et Liverpool (1-1), les Marseillais prennent la tête du groupe A. Les hommes d'Albert Emon ont relevé la tête.
22:41 C'est fini au Vélodrome !!! L'OM remporte son premier succès de la saison à domicile (2-0), fruit d'une nette domination au milieu de terrain. Manquant encore de cohésion en attaque, les Olympiens sont néanmoins en voie de guérison. Une ouverture du score de Rodriguez sur un corner direct superbe de Nasri repoussé par le poteau a ouvert le chemin du succès aux Olympiens. Cissé, assez malheureux jusque-là, doublant la mise dans les arrêts de jeu.
90e BUUUUUUT POUR L'OM !!! Sur une ouverture de Rodriguez, Djibril Cissé prend de vitesse Diatta et trompe Arikan d'une frappe à ras de terre.

76e BUUUUUUT POUR L'OM !!! Sur un corner direct de Nasri, repoussé par le poteau, Rodriguez, seul au point de penalty, propulse le cuir au fond des filets. OUVERTURE DU SCORE POUR LES OLYMPIENS !

20:44 Face aux Olympiens se dresse le Besiktas, qui s'est qualifié pour la Ligue des Champions sous la conduite de Guy Stefan.
20:40 Cette configuration visera à apporter aux Olympiens leur premier succès de la saison à domicile. Une forme de réconciliation avec un public échaudé.
20:37 Quatre jours après la défaite au Vélodrome contre Toulouse (1-2), Emon a procédé à plusieurs changements. L'entraîneur olympien privilégie un milieu en losange. Zenden, remplaçant depuis la troisième journée, et Faty, au poste de défenseur central droit, sont titularisés. Nasri devrait se positionner en soutien de son trio d'attaque Niang-Cissé-Ziani.
20:32 Avec le départ annoncé d'Emon et l'incapacité chronique de ses joueurs à gérer la pression depuis le début de la saison, l'OM se sent déjà dans l'obligation de remporter son premier rendez-vous européen depuis quatre ans face à son adversaire, censé être le plus modeste.
20:25 Pour son premier match de Ligue des Champions depuis 2003 et un nul face au Partizan Belgrade (1-1), l'OM cherchera à oublier le quotidien d'un championnat morose où il ne pointe qu'à une modeste 15e place.
20:20 Bonsoir et bienvenue pour suivre sur notre site cette rencontre de Ligue des Champions entre l'Olympique de Marseille et le Besiktas Istanbul.

20:44 Face aux Olympiens se dresse le Besiktas, qui s'est qualifié pour la Ligue des Champions sous la conduite de Guy Stefan.
20:40 Cette configuration visera à apporter aux Olympiens leur premier succès de la saison à domicile. Une forme de réconciliation avec un public échaudé.
20:37 Quatre jours après la défaite au Vélodrome contre Toulouse (1-2), Emon a procédé à plusieurs changements. L'entraîneur olympien privilégie un milieu en losange. Zenden, remplaçant depuis la troisième journée, et Faty, au poste de défenseur central droit, sont titularisés. Nasri devrait se positionner en soutien de son trio d'attaque Niang-Cissé-Ziani.
20:32 Avec le départ annoncé d'Emon et l'incapacité chronique de ses joueurs à gérer la pression depuis le début de la saison, l'OM se sent déjà dans l'obligation de remporter son premier rendez-vous européen depuis quatre ans face à son adversaire, censé être le plus modeste.
20:25 Pour son premier match de Ligue des Champions depuis 2003 et un nul face au Partizan Belgrade (1-1), l'OM cherchera à oublier le quotidien d'un championnat morose où il ne pointe qu'à une modeste 15e place.
20:20 Bonsoir et bienvenue pour suivre sur notre site cette rencontre de Ligue des Champions entre l'Olympique de Marseille et le Besiktas Istanbul.

Pape Diouf : « Faire en sorte de remettre l’équipe à flot »
23/09/07 - AJA 2-0 OM

Après la défaite à Auxerre, Pape Diouf a répondu aux questions d’OMtv. Il s’agit aujourd’hui de trouver « les solutions les plus adéquates, et les plus rapides à proposer de manière à ce que notre saison ne soit pas un fiasco », déclare-t-il.


Cette défaite à Auxerre va être difficile à digérer…
C’est comme si on vivait un cauchemar. Si au mois de juillet on nous avait dit que nous serions en septembre dans cette position, je ne l’aurais pas cru, même si je sais que le football peut être cruel, qu’il est une activité où il est vraiment très difficile de faire des projections objectives. Ce qui nous arrive aujourd’hui ressemble à un mauvais songe, à quelque chose de tellement invraisemblable que, oui, la défaite subie à Auxerre reste une de ces déceptions qui ne s’effacent pas rapidement.

Comment va-t-il falloir réagir maintenant ?
Il est encore trop tôt pour dire comment il va falloir réagir, ou dire voilà les solutions qu’il faut apporter à certains problèmes. On ne peut pas à chaud inventer des solutions et pourtant il faut bien que nous arrivions à un électrochoc, que nous fassions quelque chose qui remette l’équipe à flot. On a pu penser que la victoire contre Besiktas serait comme une rampe de lancement. Il n’en est rien, puisque nous avons vu une équipe très passive face à Auxerre, notamment en première mi-temps. Il est vrai qu’il y a eu une réaction en deuxième période, mais on ne peut pas se suffire de cela.

Que comptez-vous faire ?
Impérativement nous les dirigeants devons nous voir, discuter, réfléchir sur les solutions les plus adéquates, et les plus rapides à proposer de manière à ce que notre saison ne soit pas un fiasco, un bide. D’autant que les hasards du calendrier laissent un petit peu de temps d’ici notre match à Liverpool (3 octobre) de manière à pouvoir réfléchir avec la distance qui sied à ce type de situation, pour que les solutions proposées soient des solutions adaptées.

Foot: l'entraîneur belge Gerets remplace Emon à l'OM
Il y a 3 jours

PARIS (AFP) — Après trois jours d'une longue attente, Marseille a arrêté son choix mardi soir sur l'entraîneur belge et ancien joueur de tempérament Eric Gerets, qui remplace Albert Emon, pour tenter de relancer une saison bien mal emmanchée.

L'annonce officielle en a été faite sur le site internet du club, sur lequel le président Pape Diouf a dit son espoir que Gerets, qui était libre après avoir entraîné le club turc de Galatasaray lors des deux dernières saisons, apporte "un nouvel élan".

Gerets, 53 ans, est le second entraîneur belge de l'OM après le célèbre Raymond Goethals avec lequel l'OM a remporté la Ligue des champions en 1993. Il s'engagera pour deux saisons et devrait être présenté jeudi à la presse. Il viendra sans adjoint ni préparateur physique, une condition posée par les dirigeants marseillais contraints de limiter les dépenses.

Le fait que l'ancien milieu de terrain ait remporté un titre de champion dans tous les pays où il a entraîné (Bruges, PV Eindhoven et Galatasaray) et a connu en Turquie les environnements chauds a plaidé en sa faveur auprès des dirigeants marseillais, qui appréciaient son profil de longue date.

"Lorsqu'on a travaillé en Turquie, je crois qu'on peut aller dans n'importe quel autre endroit du monde", a-t-il ainsi déclaré au quotidien régional la Provence à paraître ce mercredi celui qui fut un temps dirigé par Goethals au Standard de Liège. "Quand l'OM s'est déclaré, je n'ai pas hésité. La réputation de Marseille est énorme et il y a beaucoup de boulot à accomplir. Ça me plaît", a aussi affirmé l'ancien capitaine des "Diables Rouges" de Belgique, affichant sa volonté d'un jeu fondé "sur l'attaque, mais sans suicide. J'aime aller de l'avant et je crois que Marseille aime ça."

Gerets fut aussi un joueur de tempérament, notamment à Eindhoven, club de son coeur avec lequel il fut sacré champion d'Europe en 1988 et dont il porta le maillot de 1985 à 1992, avant d'en devenir l'entraîneur de 1999 à 2002. C'est aussi ce qui a dicté le choix de Diouf et du directeur sportif José Anigo, qui ont également étudié la piste menant à Bruno Metsu, sélectionneur des Emirats arabes unis.

Gerets prendra en tout cas en main une équipe en plein marasme. Actuel 16e de L1 après 9 journées, l'OM n'a remporté qu'un seul match cette saison, à des années lumière des objectifs d'une nouvelle qualification en Ligue des champions. Cette situation avait décidé Louis Acariès, proche de l'actionnaire Robert Louis-Dreyfus, à venir apporter sur place son "soutien" au club, même s'il n'était pas mandaté par "RLD".

Entraîneur principal depuis l'été 2006, Emon fait les frais de ce départ catastrophique. Diouf et Anigo, dont il est un proche, souhaitent qu'il reste à l'OM, club de son coeur où il débuta sa carrière professionnelle et qu'il rejoint comme coach de la CFA en 2000.

Se séparer d'Emon "est une décision difficile à prendre au regard de l'amitié qui nous lie à Albert Emon et du travail accompli", a estimé Diouf mardi soir. Les sentiments n'étaient plus d'actualité. Mais le programme s'annonce périlleux: pour sa première, Gerets conduira l'OM à Liverpool mercredi prochain, pour la 2e journée de la Ligue des champions.

L’OM et son nouvel entraineur Eric Gerets se rendent à Liverpool pour leur second match de Champion’s League de l’année. Après une première belle victoire à domicile face au Besiktas, les olympiens sont à la tête de leur groupe et vont tenter l’exploit pour rester leader et ainsi prendre une belle option sur la qualification. Le match débutera à 20h45. Composition des équipes :
OM : S. Mandanda L. Bonnart G. Givet J. Rodriguez T. Taiwo M. Valbuena L. Cana K. Ziani B. Cheyrou B. Zenden M.Niang
Liverpool : J. Reina S. Finnan J. Carragher S. Hyypiä Aurelio Y. Benayoun S. Gerrard M. Sissoko R. Babel P. Crouch Torres
0′ : C’est Liverpool qui engage. Grosse pluie et terrain glissant en ce début de mi-temps
1′ : les reds sont très présents devant les 16 mètres de l’OM - les bleus ont du mal à conserver le ballon
5′ : les ailiers ont tendance à aller s’enfermer sur les côtés, mais ils arrivent à mieux s’imposer au milieu de terrain
6′ : Niang arrive à chiper un ballon cafouillé et remet pour Zenden à gauche, mais il est devancé par le goal
8′ : Liverpool laisse des espace dont les olympiens arrivent a profiter
9′ : belle ouverture de Valbuena pour Niang qui contrôle de la poitrine à l’entrée de la surface et tente le coup du sombrero. Il fait faute, dommage
10′ : énorme faute d’antijeu sur Niang qui perforait dans l’axe, l’arbitre ne dit rien
11′ : Ziani fait un bon pressing et lance Niang dans l’axe : belle frappe que le goal met en corner. C’est l’OM qui a les meilleures occasions de ce début de match
14′ : Ziani et Valbuena font un gros travail de pressing. Les reds ne sont pas sereins
17′ : coup franc pour l’OM, qui combine à droite pour un centre de Zenden. Cana reprend de la tête mais ne peut cadrer
22′ : superbe ouverture de Taiwo pour Niang qui tente la reprise à l’entrée de la surface, mais dévisse
24′ : les reds percent de temps en temps, ce qui permet à Mandanda quelques belles sorties
28′ : Rodriguez et Taïwo jouent juste et la défense est plutôt à l’aise. Ca change des précédents matchs
27′ : Givet sauve la maison avec un beau tacle défensif sur Torres. Givet sort le ballon de la tête sur le corner qui suit
28′ : l’OM bafouille un peu aux 25 mètres. Nasri manque
33′ : BUT refusé pour l’OM, sur un hors jeu imaginaire de Niang après un centre canon de Taïwo. Mamadou avait buté sur le goal et Ziani avait poussé dans le but vide. Il faut persévérer
35′ : les reds impose un jeu plus que physique et l’arbitre laisse faire …
38′ : un peu plus de précision et le but serait à portée de crampon. Il manque toujours une passe, mais l’important est de ne pas trop s’exposer
41′ : Liverpool ne trouve pas d’ouverture et perd beaucoup de ballons. Dommage de ne pas en avoir profité
44′ : le match a baissé en intensité et l’abitre siffle la mi-temps

Belle prestation de l’OM en général, le groupe a joué très groupé et les différentes lignes se sont bien trouvées. Rodriguez a fait un bon boulot avec Givet. Taïwo et Bonnart sont montés à bon escient pour servir Niang dans de bonnes conditions. Ce dernier a bien pesé sur la défense et parfois fait la différence. On regrettera juste le manque de précision dans les passes, mais l’essentiel est de ne pas avoir encaissé de but. Cissé rentrera certainement en seconde période. Dommage que le but de Ziani ait été refusé, cela aurait bien changé la donne. Dans tous les cas, il semble y avoir un effet Gerets, et c’est avant tout cela que l’on attendait. Le reste c’est du bonus

45′ : l’OM engage et met tout de suite la pression sur les Reds. Bon pressing
48′ : le Reds se font plus présents. L’OM poursuit son pressing.
50′ : Zenden prend un jaune pour un tacle trop appuyé
52′ : Valbuena se fait découper une nouvelle fois au milieu de terrain. En france c’était le rouge
53′ : Liverpool est de plus en plus dangereux, les milieux laissant plus de place aux latéraux anglais pour centrer. Attention à Riise, tout juste rentré, qui aime ces espaces
58′ : les reds ne passent plus, l’OM comble les espaces. On a peur d’un petit coup de pompe, et Gerets devrait apporter du sang neuf
59′ : Nouvelle belle sortie de Mandanda, sur un centre très haut. Il n’a pas peur d’aller au contact.
62′ : Nouvelle grosse faute d’anti-jeu des reds qui offre un coup franc dans l’axe. Niang met un boulet en 2 temps, bien capté par le goal
67′ : l’OM pousse toujours et gagne deux corners (mal tirés). Il y a moyen de marquer. Cissé rentre à la place de Mamadou Niang, sous les applaudissements du public
69′ : les bleus multiplient les actions dangeureuses sans pour autant se mettre dans les meilleures conditions, la faute aux latéraux qui montent moins dans la perspective évidente d’un match nul.
72′ : main non signalée de Givet dans la surface. 1-1 pour les grosses erreurs d’arbitrage
75′ : Valbuena centre fort devant le but et le goal evite le but de justesse
80′ : BUT de Valbuena : il se retourne aux 18 mètres, enroule et la loge pleine lucarne !! l’OM tient son exploit
82′ : les reds poussent et un ballon capté par Mandanda donne de l’air à l’OM. Sur la relance, ziani perfore et obtient un corner. Cheyrou pourra placer une frappe mais sans danger 83′ : Valbuena sort pour Oruma. Encore 10 minutes à tenir
88′ : Zenden sort pour Arrache. l’OM reste solide à 5 minutes de la fin
90′ : 3 corners mal exploités en 1 minutes, mais ca tient toujours. Prolongation de 4 minutes
91′ : nouveau corner, ecarté cette fois ci par Cissé 92′ : action de folie : Mandanda fait une super sortie dans les pieds rouges pour éviter le but, le ballon revient aux six mètres et une frappe puissante termine sur le poteau. Un peu de réussite fait du bien
93′ : Cissé reprend le ballon sur une faute de main du goal et tente un lob qui passe de peu à côté.
94′ : faute des reds - coup franc - fin du match - c’est dans la poche !

Gerets semble avoir eu pas mal d’effets ! Une victoire à Liverpool qui laisse entrevoir des jours meilleurs, en C1 ou en championnat. On a vu un groupe soudé tout au long du match, un peu de déchet technique, mais face à une des meilleures équipes d’Europe. Seul Zenden a un peu déçu par des choix pas toujours justes. Une bien belle soirée ! Messieurs merci ! L’OM est donc seul en tête du groupe A avec 6 points devant Porto (tombeur de Besiktas), 4 points, Liverpool 1 point et Besiktas 0 point. Prochain rendez vous : Porto à Domicile

L’OM et son nouvel entraineur Eric Gerets se rendent à Liverpool pour leur second match de Champion’s League de l’année. Après une première belle victoire à domicile face au Besiktas, les olympiens sont à la tête de leur groupe et vont tenter l’exploit pour rester leader et ainsi prendre une belle option sur la qualification. Le match débutera à 20h45. Composition des équipes :
OM : S. Mandanda L. Bonnart G. Givet J. Rodriguez T. Taiwo M. Valbuena L. Cana K. Ziani B. Cheyrou B. Zenden M.Niang
Liverpool : J. Reina S. Finnan J. Carragher S. Hyypiä Aurelio Y. Benayoun S. Gerrard M. Sissoko R. Babel P. Crouch Torres
0′ : C’est Liverpool qui engage. Grosse pluie et terrain glissant en ce début de mi-temps
1′ : les reds sont très présents devant les 16 mètres de l’OM - les bleus ont du mal à conserver le ballon
5′ : les ailiers ont tendance à aller s’enfermer sur les côtés, mais ils arrivent à mieux s’imposer au milieu de terrain
6′ : Niang arrive à chiper un ballon cafouillé et remet pour Zenden à gauche, mais il est devancé par le goal
8′ : Liverpool laisse des espace dont les olympiens arrivent a profiter
9′ : belle ouverture de Valbuena pour Niang qui contrôle de la poitrine à l’entrée de la surface et tente le coup du sombrero. Il fait faute, dommage
10′ : énorme faute d’antijeu sur Niang qui perforait dans l’axe, l’arbitre ne dit rien
11′ : Ziani fait un bon pressing et lance Niang dans l’axe : belle frappe que le goal met en corner. C’est l’OM qui a les meilleures occasions de ce début de match
14′ : Ziani et Valbuena font un gros travail de pressing. Les reds ne sont pas sereins
17′ : coup franc pour l’OM, qui combine à droite pour un centre de Zenden. Cana reprend de la tête mais ne peut cadrer
22′ : superbe ouverture de Taiwo pour Niang qui tente la reprise à l’entrée de la surface, mais dévisse
24′ : les reds percent de temps en temps, ce qui permet à Mandanda quelques belles sorties
28′ : Rodriguez et Taïwo jouent juste et la défense est plutôt à l’aise. Ca change des précédents matchs
27′ : Givet sauve la maison avec un beau tacle défensif sur Torres. Givet sort le ballon de la tête sur le corner qui suit
28′ : l’OM bafouille un peu aux 25 mètres. Nasri manque
33′ : BUT refusé pour l’OM, sur un hors jeu imaginaire de Niang après un centre canon de Taïwo. Mamadou avait buté sur le goal et Ziani avait poussé dans le but vide. Il faut persévérer
35′ : les reds impose un jeu plus que physique et l’arbitre laisse faire …
38′ : un peu plus de précision et le but serait à portée de crampon. Il manque toujours une passe, mais l’important est de ne pas trop s’exposer
41′ : Liverpool ne trouve pas d’ouverture et perd beaucoup de ballons. Dommage de ne pas en avoir profité
44′ : le match a baissé en intensité et l’abitre siffle la mi-temps

Belle prestation de l’OM en général, le groupe a joué très groupé et les différentes lignes se sont bien trouvées. Rodriguez a fait un bon boulot avec Givet. Taïwo et Bonnart sont montés à bon escient pour servir Niang dans de bonnes conditions. Ce dernier a bien pesé sur la défense et parfois fait la différence. On regrettera juste le manque de précision dans les passes, mais l’essentiel est de ne pas avoir encaissé de but. Cissé rentrera certainement en seconde période. Dommage que le but de Ziani ait été refusé, cela aurait bien changé la donne. Dans tous les cas, il semble y avoir un effet Gerets, et c’est avant tout cela que l’on attendait. Le reste c’est du bonus

45′ : l’OM engage et met tout de suite la pression sur les Reds. Bon pressing
48′ : le Reds se font plus présents. L’OM poursuit son pressing.
50′ : Zenden prend un jaune pour un tacle trop appuyé
52′ : Valbuena se fait découper une nouvelle fois au milieu de terrain. En france c’était le rouge
53′ : Liverpool est de plus en plus dangereux, les milieux laissant plus de place aux latéraux anglais pour centrer. Attention à Riise, tout juste rentré, qui aime ces espaces
58′ : les reds ne passent plus, l’OM comble les espaces. On a peur d’un petit coup de pompe, et Gerets devrait apporter du sang neuf
59′ : Nouvelle belle sortie de Mandanda, sur un centre très haut. Il n’a pas peur d’aller au contact.
62′ : Nouvelle grosse faute d’anti-jeu des reds qui offre un coup franc dans l’axe. Niang met un boulet en 2 temps, bien capté par le goal
67′ : l’OM pousse toujours et gagne deux corners (mal tirés). Il y a moyen de marquer. Cissé rentre à la place de Mamadou Niang, sous les applaudissements du public
69′ : les bleus multiplient les actions dangeureuses sans pour autant se mettre dans les meilleures conditions, la faute aux latéraux qui montent moins dans la perspective évidente d’un match nul.
72′ : main non signalée de Givet dans la surface. 1-1 pour les grosses erreurs d’arbitrage
75′ : Valbuena centre fort devant le but et le goal evite le but de justesse
80′ : BUT de Valbuena : il se retourne aux 18 mètres, enroule et la loge pleine lucarne !! l’OM tient son exploit
82′ : les reds poussent et un ballon capté par Mandanda donne de l’air à l’OM. Sur la relance, ziani perfore et obtient un corner. Cheyrou pourra placer une frappe mais sans danger 83′ : Valbuena sort pour Oruma. Encore 10 minutes à tenir
88′ : Zenden sort pour Arrache. l’OM reste solide à 5 minutes de la fin
90′ : 3 corners mal exploités en 1 minutes, mais ca tient toujours. Prolongation de 4 minutes
91′ : nouveau corner, ecarté cette fois ci par Cissé 92′ : action de folie : Mandanda fait une super sortie dans les pieds rouges pour éviter le but, le ballon revient aux six mètres et une frappe puissante termine sur le poteau. Un peu de réussite fait du bien
93′ : Cissé reprend le ballon sur une faute de main du goal et tente un lob qui passe de peu à côté.
94′ : faute des reds - coup franc - fin du match - c’est dans la poche !

Gerets semble avoir eu pas mal d’effets ! Une victoire à Liverpool qui laisse entrevoir des jours meilleurs, en C1 ou en championnat. On a vu un groupe soudé tout au long du match, un peu de déchet technique, mais face à une des meilleures équipes d’Europe. Seul Zenden a un peu déçu par des choix pas toujours justes. Une bien belle soirée ! Messieurs merci ! L’OM est donc seul en tête du groupe A avec 6 points devant Porto (tombeur de Besiktas), 4 points, Liverpool 1 point et Besiktas 0 point. Prochain rendez vous : Porto à Domicile

vive l'equipe de nice vive l'om aussi etvive le ruby que tout le monde gagne

Les Verts calment l'OM
Marseille, après sa belle victoire sur Liverpool, semblait reparti sur de bons rails. Saint-Etienne, grâce à un but au bout des arrêts de jeu, a vite calmé l'euphorie (1-0) et laisse l'OM en fond de classement

Par Julien Pedebos

Compte rendu du match
Trois jours après son formidable exploit sur la pelouse de Liverpool, l’Olympique de Marseille était attendu au tournant pour un déplacement toujours difficile à Saint-Etienne. Avec leur héros de la semaine, Mathieu Valbuena, à nouveau titulaire, les hommes d’Erik Gerets, qui a parfaitement entamé son mandat, espéraient bien prolonger leur embellie pour s’éloigner de la zone rouge.

Le festival de Mandanda
Mais contrairement aux Reds, qui avaient fait le pari de laisser jouer les Marseillais, les hommes de Laurent Roussey choisissaient eux d’agresser d’entrée les Phocéens, avec un gros pressing. A peine seize secondes de jeu et Payet, après un déboulé côté gauche, expédiait sa frappe dans les panneaux publicitaires (1e). Le ton était donné et après un coup franc vicieux de Payet capté par Mandanda (3e), Valbuena expédiait une frappe croisée un petit mètre au dessus (4e). Les Verts, supérieurs techniquement, posaient beaucoup de problèmes à des Marseillais qui éprouvaient les pires difficultés à investir le camp stéphanois. Rodriguez, dans la lignée de Liverpool, était néanmoins le patron de la défense, avec notamment un tacle énorme devant Gomis seul face au but (17e). Et quand les Olympiens ne pouvaient compter sur leur taulier défensif, Mandanda se chargeait de sauver les meubles. Devant Ilan à bout portant dans la surface tout d’abord (24e), puis sur une frappe puissante de Gomis (29e). Dans le dernier quart d’heure, les deux formations, à la recherche de leur second souffle, baissaient nettement de pied. Cela n’empêchait néanmoins pas les gardiens d’être à nouveau sollicités. Janot, pour sa première parade, sortait un tir puissant de Mamadou Niang (29e). Mandanda, pour sa part, écoeurait Gomis, avec un arrêt au pied digne des meilleurs handballeurs (34e).

L’exploit de Dernis
Au retour des vestiaires, et malgré une occasion énorme de Gomis, qui plaçait une tête au dessus alors qu’il était pourtant seul aux six mètres (49e), le rythme ne repartait guère. Les deux formations ayant pris la mesure des attaquants adverses, les occasions se faisaient beaucoup moins nombreuses. Les Stéphanois, bien que dominateurs dans le jeu, ne parvenaient pas à approcher de la cage de Mandanda, et il faut bien dire que M.Auriac, sur plusieurs décisions pour le moins litigieuses, ne les aidait pas beaucoup. Ces faits de jeu mis à part, les hommes de Laurent Roussey avaient mérite de ne pas lâcher, s’exposant de fait aux contres adverses. Valbuena était tout près de revêtir, une nouvelle fois, son costume de sauveur mais son tacle était trop court pour pousser le ballon au fond (64e). Les Verts, cependant, étaient bien les plus dangereux, et Mandanda voyait plusieurs vagues vertes vers sa cage. Cana devait tout d’abord intervenir in extremis au nez et à la barbe d’Ilan (78e), avant que Gigliotti, pourtant seul face au but, ne loupe le cadre (86e). Les Marseillais, à la limite de céder, finissaient même le match à dix, Taiwo recevant un deuxième carton jaune pour avoir retenu Feindouno en position de dernier défenseur, mais semblaient en mesure de tenir ce résultat nul. Sauf que Dernis, entré quelques minutes auparavant, avait décidé d’imiter le Valbuena d’Anfield, et, du gauche, pouvait délivrer Geoffroy-Guichard d’une frappe terrible (1-0, 90+3e). Saint-Etienne obtient donc in extremis une victoire qui les relance tandis que Marseille voit déjà son euphorie retomber.

Le jeu et les joueurs
Laurent Roussey, pour ce match, devait composer avec l’absence de Tavlaridis dans l’axe. Sall était donc aligné au côté de Nivaldo, et on peut dire que les deux hommes ont passé une soirée tranquille. On a forcément plus vu les joueurs offensifs, avec notamment Gomis qui a fait preuve d’un incroyable manque de réussite. Payet et Feindouno ont été très remuants à défaut d’être décisifs, tandis qu’Ilan a posé beaucoup de problèmes en jouant constamment entre les lignes. Il a cependant fallu attendre les remplaçants Dernis et Gigliotti pour voir la rencontre basculer, le second se créant une occasion énorme alors que le premier a inscrit le but décisif.

Par rapport à la formation alignée à Liverpool, Erik Gerets devait faire sans Cheyrou, suspendu, ni Zenden, blessé. Pour les remplacer, le coach belge faisait appel à MBami et Cissé. Si le récupérateur s’est montré combatif, livrant un joli duel avec Perrin, l’attaquant marseillais a une nouvelle fois déçu, se montrant transparent. Valbuena était attendu au tournant après son énorme match européen. Tout comme Karim Ziani, il a été discret dans l’ensemble, ne montrant pas la même disponibilité. Les deux satisfactions de la rencontre, Rodriguez, encore une fois intraitable, et Mandanda, plusieurs fois décisifs, n’ont pu eux que constater la terrible banderille reçue en fin de match.

Programme de la 10e journée :
Vendredi
21h00
Monaco - Nancy 1-3

Samedi
17h10
Saint-Etienne - Marseille 1-0

Actualité


Liverpool 0-1 OM : Made in Marseille !

Posté le Mercredi 03 Octobre 2007 par Lupin (143 réactions | Imprimer )






Mercredi 03 Octobre 2007 à 20H45 - Champion's League (J2)


Liverpool 0-1 Marseille

Voir la Fiche







Pour sa grande première le nouveau coach marseillais pouvait difficilement rêver d'une plus belle affiche : les hommes d'Éric Gerets se déplaçaient en effet à Anfield Road pour y défier l’armada de Liverpool portée par le fameux « You’ll never walk alone » de son public. Côté Anglais Agger, Xavi Alonso et Pennant sont absents mais c’est anecdotique pour Rafaël Bénitez qui dispose d’un effectif effrayant (les Toulousains, écrasés en tour préliminaire peuvent en témoigner ...) composé d’une grosse vingtaine d’internationaux.

Le onze de départ anglais est le suivant, c’est un 4-4-2 classique : Reina - Finnan - Carragher - Hyypia - Aurélio - Gerrard - Sissoko - Benayoun - Leto - Crouch - Torres . Le banc de touche est presque aussi terrifiant avec notamment Riise, Voronin, Mascherano, Babel et Kuyt ... en plus ils sont invaincus depuis le début de la saison et 11 matchs officiels disputés et prennent des buts aussi fréquemment que Aulas est objectif dans ses analyses. Reina n’est allé cherché le ballon dans ses filets que 3 fois depuis le mois d’Août, et encore c’était après 3 penalty.

Gerets est contraint de se passer des services de Faty et Nasri et doit laisser Cissé, touché au tibia, sur le banc : il aligne Mandanda - Bonnart - Rodriguez - Givet - Taiwo - Cana - Cheyrou - Zenden - Ziani - Valbuena - Niang. Le banc marseillais a presque aussi fière allure que celui de Liverpool puisque Cissé, Zubar et M’Bami y côtoient Hamel, Oruma, Arrache et Moussilou, la superstar.


Ze Résumé :

11ème : Le bon début de match des olympiens, sans complexe pour le moment, se concrétise par une première occasion : Ziani déboule côté droit et sert parfaitement Niang, auteur d’un bon appel. Tir du droit du Sénégalais dévié en corner par Reina, l’impeccable gardien Espagnol de Liverpool.

18ème : Premier carton du match pour le capitaine des Reds Steven Gerrard.

27ème : Première grosse frayeur pour les Olympiens : Gerrard lance parfaitement Fernando Torres. L’Espagnol s’apprête à défier Mandanda dans un face à face mais Givet effectue un tacle parfait et sauve son équipe.

33ème : But marseillais ! Oui, non, oui, noon !! Centre de Taiwo sur la gauche, Niang reprend mais son tir à bout portant est repoussé par Reina. Le ballon revient sur Ziani qui reprend instantanément et marque !! Malheureusement l’arbitre de touche lève son drapeau ... Sans doute pas pour le hors jeu de position de Niang sur le but de Ziani mais pour un hors jeu du Sénégalais sur le centre de Taiwo. Au ralenti difficile de se faire une opinion, ça se joue à quelques millimètres.

Mi temps : C’est un OM méconnaissable qui a effectué une très bonne première mi-temps. Grâce à un pressing constant les marseillais ont bousculé les Anglais qui ne se sont pas créés une seule occasion nette. Les Marseillais auraient même pu ouvrir le score avec un peu plus de réussite. Pourvu que l’effet Gerets, à moins que ça ne soit l’effet ligue des champions, perdure en 2ème mi-temps ...

50ème : Superbe action collective des Marseillais : Ziani accélère dans l’axe et s’appuie sur Niang qui joue le une-deux avec Zenden, mais le Sénégalais écrase sa demi volée, captée facilement par Reina.

51ème : 2ème carton jaune pour Liverpool et Sissoko, auteur d’un tacle très rude sur Valbuena.

51ème : Le jeune Argentin Leto, transparent ce soir, est remplacé par le Norvégien Riise.

62ème : Et un, et deux, et trois cartons jaunes pour les Anglais : c’est le tour de Carragher auteur d’un plaquage très rugbystique sur Valbuena.

63ème : Sur le coup franc la bonne frappe tendue de Niang est arrêtée par Reina.

64ème : Mauvaise relance des défenseurs marseillais, Gerrard récupère le ballon, dans l’axe et à 25 mètres des buts il frappe ... juste à côté. Ouf !

69ème : Cissé remplace Mamadou Niang, auteur d’un gros match en pointe.

69ème : Dans le même temps, Voronin remplace Aurélio chez les Anglais.

73ème : Après un tacle de Givet dans la surface, le ballon lui rebondit sur la main ... sans conséquence fâcheuse.

73ème : Sur le corner qui suit, Hyypia s’élève plus haut que tout le monde mais sa tête passe au ras du poteau. Grosse frayeur olympienne.

74ème : Dernier remplacement anglais, le redoutable attaquant hollandais Kuyt remplace Peter Crouch.

76ème : Enoooorme !!! Les Marseillais sont enfin récompensés de leurs efforts avec un chef d’œuvre de Matthieu Valbuena : il récupère le ballon dans l’axe à 20 mètres, fait un crochet intérieur et décoche une frappe qui touche la barre avant de rentrer dans les filets de Reina !!!

83ème : Le buteur marseillais Mathieu Valbuena est remplacé par Wilson Oruma.

87ème : Zenden est remplacé par Arrache.

Les minutes terribles : l’arbitre inflige 4 minutes de temps additionnel à des Marseillais qui souffrent terriblement, les vagues rouges déferlent sur le but marseillais :
Liverpool se procure d’abord trois corners consécutifs qui font frissoner les marseillais ...
puis c’est Benayoun qui reprend un centre de Finnan, la tête est déviée in extremis par Rodriguez ...
mais ce n’est pas fini : les anglais continuent d’attaquer à tout va, Mandanda se jette dans les pieds adverses, on assiste alors à une partie de billard qui se termine sur le poteau de Mandanda. La Bonne Mère veille au grain et vient en renfort ...

93ème : Mésentente incroyable entre Reina et Hyppia, Cissé frappe dans les buts vides ... mais ça passe juste à côté.

94ème : C’est fini ! L’OM signe un exploit qui restera dans l’histoire du club. Les Marseillais infligent aux anglais leur première défaite de la saison et leur premier but encaissé dans le jeu ! C’est aussi la première équipe française à s’imposer à Anfield Road !! On a vu un OM totalement transformé ce soir, avec des lignes resserrées et un énorme pressing qui a étouffé Liverpool. Les Anglais se sont réveillés beaucoup trop tard pour empêcher les Marseillais de remporter la victoire. L’OM aime la C1 c’est certain mais on a hâte de revoir des matchs de ce niveau ... Sinon le 17ème du championnat de France sans ses 2 stars au coup d’envoi (Cissé et Nasri) a battu l’une des meilleures équipes d’Angleterre, au budget 10 fois plus important ...


Ze notes :

Mandanda : 6 Pour une fois le gardien marseillais n’a pas eu énormément de travail, et c’est une très bonne nouvelle. Il a répondu présent dans les moments chauds, notamment sur les coups de pied arrêtés et dans les dernières minutes il s’est montré très rassurant.

Bonnart : 6,5 Comme d’habitude l'ex Manceau a rendu une copie très propre. Il a été très actif en première mi-temps, avec de bonnes combinaisons avec Ziani. En 2ème mi-temps il a dû se concentrer sur son travail défensif, avec abnégation et réussite.

Rodriguez : 7 On a retrouvé le Rodriguez de la saison passée ! Un joueur très tranchant dans ses interventions, rassurant pour sa défense et décisif puisqu’il sauve un but en fin de match sur la tête de Benayoun.

Givet : 7 Il s’est coupé les cheveux et devrait le faire plus souvent, ça lui réussit ! Beaucoup plus attentif et concentré que ces derniers temps il a laissé parler son engagement et sa rage de vaincre, symbolisé par un tacle parfait sur Torres en première mi-temps.

Taiwo : 6 Moins présent que Bonnard offensivement, il a quand même adressé quelques bons centres et a correctement tenu son couloir défensivement.

Cana : 6 Sans être étincelant le capitaine olympien a livré un match solide et sérieux : c’est souvent lui qui a impulsé le pressing marseillais, clée de la victoire du soir.

Cheyrou : 6 Pas encore au top l’ex auxerrois. Malgré une bonne volonté évidente on le sens encore un peu timoré, mais il a fait son boulot défensivement.

Valbuena : 8 Le héros du jour ! Très présent dans le pressing olympien il a joué les yeux fermés avec Zenden, Niang et surtout Ziani. Auteur d’un match plein il est également l’auteur d’un but aussi magnifique que capital. Il a bien mérité l’ovation des supporters marseillais à sa sortie.

Ziani : 7,5 La ligue des champions lui réussit ! Assez inconstant en championnat il est brillant sur la scène européenne. Ce soir il a donné, avec Valbuena, le tournis aux grands gabarits Anglais souvent pris de vitesse et désarçonnés par la technique de l’Algérien. Il ne lui reste plus qu’à être plus régulier et à simplifier un peu son jeu pour être définitivement adopté par le public marseillais.

Zenden : 6,5 Bonne prestation du hollandais ce soir. Moins dangereux que Ziani ou Valbuena à cause d’un manque de vivacité il a été très utile par son intelligence de jeu, la justesse de ses passes et son travail de récupération au milieu.

Niang : 8 Très bon match de Mamadou, à un poste qui n’est pas son préféré. Seul en pointe mais très remuant, il a fait souffrir la défense anglaise sans oublier de combiner intelligemment avec Ziani, Valbuena ou Zenden. Il lui a manqué un poil de réussite pour marquer le but qui aurait pu et dû récompenser son match.

Les grands bretons :

On a vu une équipe de Liverpool méconnaissable, c’est un naufrage collectif. L’OM en est sûrement responsable avec son bon pressing mais on attendait autre chose des Anglais. Seul Gerrard a tenté de relever le niveau mais il était trop seul ce soir. Quand on commence à jouer à la 87ème minute c’est difficile de gagner ...


A suivre :

Pas le temps de souffler pour les joueurs olympiens qui se préparent à effectuer un nouveau déplacement périlleux dans trois jours à Saint-Étienne. Les deux clubs français les plus titrés (oui monsieur Aulas désolé ...euh non pas désolé du tout en fait, un petit whisky Écossais pour te remettre ? ) vont s’affronter dans le chaudron de Geoffroy Guichard où les marseillais ont souvent fait naufrage. Une note d’espoir quand même : l ‘année dernière grâce à un but de Valbuena et un chef d’œuvre de Cissé les Marseillais ont mis fin à une longue série noire. Cette victoire leur permettait d’ailleurs de se qualifier pour la ligue des champions. Albert Emon était porté en triomphe ... Souhaitons le même destin à Erik Gerets en fin de saison, après cette première plus que réussie.

22/10/2007
Foot - L1 - OM-Lens - Gerets :« Un bon football»



L'entraîneur de l'Olympique de Marseille Eric Gerets a reconnu dimanche soir après le succès contre Lens (1-0) que les trois points n'étaient pas volés. «Je m'attendais à un match très nerveux entre deux équipes qui avaient besoin de points. Nous avons développé un bon football en première période avec notamment de bonnes séquences de jeu. Si par la suite, nous avons un peu perdu notre organisation, il est clair que nous méritons de remporter ce match qui va faire du bien.»

L'entraîneur belge n'a en revanche pas apprécié les sifflets du Vélodrome envoyés à Djibril Cissé. «Dans toute ma carrière, je n'ai jamais vu un public siffler un de ses propres joueurs. C'est surprenant. Je souhaite que ce public nous soutienne, on a besoin de lui. Et un joueur a besoin de sentir son soutien.» Buteur du jour, Zenden a tenu à dédier son but à l'équipe et au public du Vélodrome. «Plus que mon propre but, la victoire m'a fait plaisir pour les joueurs et les supporters. Avec le nouveau coach, nous avons les idées claires sur ce qu'il faut faire. Ce soir, nous avons montré le même visage qu'à Liverpool. Il était important de gagner face à Lens, une équipe qui joue bien en contre. J'espère que cette victoire sera le début d'une série car c'est ce qu'il nous faut». - Hé. Fo. à Marseille.

LIGUE 1


11e journée

2007-2008
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PREMIÈRE AU VÉLODROME
Par David MICHEL


L'Olympique de Marseille a remporté dimanche soir sa première victoire en Championnat au Stade Vélodrome face à Lens (1-0), grâce à un but de Zenden. L'OM sort de la zone rouge alors que le Racing y fait son entrée. Dans l'autre match, Nancy a buté sur Sochaux (1-1), ce qui fait les affaires de Lyon, seul leader.


Incisif, le Néerlandais Zenden a délivré le Vélodrome en fin de match. (L'Equipe)



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Le LENS de JPP remplace l'OM dans la zone rouge
Jusqu'ici, l'Olympique de Marseille impressionnait en Ligue des champions mais restait une grande énigme en L1. Si le voile n'a pas été complètement levé sur ses capacités à rebondir et à retrouver un rang plus conforme à ses ambitions, l'OM a enfin réagi dimanche soir face à Lens (1-0), autre grand malade du Championnat. Ce succès, le deuxième seulement en onze journées et surtout le premier au Vélodrome après quatre sorties (2 nuls et 2 défaites) complètement ratées, est une première avancée avant des lendemains plus glorieux. Cette victoire fut longue à se dessiner puisqu'il a presque fallu attendre le dernier quart d'heure pour voir Zenden délivrer un Vélodrome pour le moins crispé et qui n'a d'ailleurs pu s'empêcher de siffler la sortie de Djibril Cissé, une nouvelle fois décevant. Cette deuxième victoire depuis l'arrivée du guérisseur Gerets a été acquise grâce au pied droit du gaucher néelandais, peu en confiance à son arrivée mais de plus en plus à l'aise. Jean-Pierre Papin devrait, quant à lui, se souvenir longtemps de son retour à Marseille puisqu'il coïncide avec l'entrée des Artésiens dans la zone de relégation, à la place de l'OM, désormais 17e avec un petit point d'avance sur le Racing.


Pour son premier match au Vélodrome, Eric Gerets a maintenu sa confiance à Valbuena mais n'a pas encore souhaité trancher entre Djibril Cissé et Mamadou Niang, placé à droite aux dépens de Ziani, entré en seconde période. Face à un adversaire venu avant tout pour défendre et qui a singulièrement manqué d'ambition, surtout en début de match, l'OM a souvent tenu le ballon sans toutefois réussir à tromper la vigilance de Vedran Runje, un autre revenant au Vélodrome. Meilleur joueur sur le terrain, Zenden a été véritablement le seul à pousser au bout les actions olympiennes (15e et 39e) en première période. Timides, les Artésiens ont toutefois bien failli ouvrir le score sur un tir de Demont, bien détourné par Mandanda sur sa ligne (23e). Juste après la reprise, c'est cette fois Runje qui a sauvé son camp sur sa ligne de but d'une main ferme pour repousser une tête de Niang (49e). Après une tentative de Cissé (62e), Zenden a touché le gros lot d'un tir de 20 mètres (73e, 1-0). Le poisson était ferré. D'autant que Lens s'est réveillé trop tard avec des tentatives un peu vaines de Dindane (75e) et Monterrubio (86e).