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L'Olympique de Marseille n'est plus à vendre au Canadien Jack Kachkar

PARIS (AP) - Le Président de la Ligue de football professionnel, Frédéric Thiriez, a pris acte de la décision de Robert Louis-Dreyfus de mettre un terme au processus de vente de l'Olympique de Marseille, a annoncé la LFP jeudi dans un communiqué.











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"C'est une sage décision, qui préserve les intérêts de l'OM d'abord, mais aussi du football français dans son ensemble" a déclaré Thiriez.
Le 22 mars dernier, Louis-Dreyfus a finalement refusé de vendre le club de football marseillais au Canadien Jack Kachkar.
L'homme d'affaires, qui préside aux destinées de l'OM depuis 1996, a renoncé à accorder un nouveau délai au patron canadien pour lui permettre de racheter le club.
Alors que le dossier devait être bouclé le 23 mars, Kachkar avait sollicité un nouveau report de la date officielle de rachat de l'OM pour réunir les 115 millions d'euros annoncés.
Robert Louis-Dreyfus, qui a investi près de 200 millions d'euros en 10 ans, reste donc propriétaire du club. Il a décidé de remettre la vente à une date ultérieure.

PC

Marseille s'impose à Lyon

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REUTERS/Robert Pratta ¦ Mamadou Niang, lors du match Lyon-Marseille, au stade Gerland, le 11 novembre 2007.

Un véritable exploit. Au terme d’un match spectaculaire, les Olympiens se sont brillamment imposés à Lyon (1er), hier, lors de la 14e journée de Ligue 1 (1-2). Une victoire qui permet enfin à l’OM (17e) de sortir de la zone des reléguables. Malgré le pressing haut des Marseillais, les Gones furent les premiers à ouvrir le score. Juninho, de la tête, profitait des errements de la défense phocéenne pour inscrire son 4e but de la saison (7e).

Trois minutes plus tard, Mamadou Niang offrait une égalisation méritée à son équipe, en prenant Vercoutre à contre-pied sur pénalty (1-1).
Malgré quelques alertes chaudes sur le but de Mandanda, les Marseillais prenaient l’avantage sur un exploit personnel de l’inévitable Mamadou Niang, à la 43e minute. Auteur de son 5e but de la saison, le Sénégalais permettait ainsi à l’OM de rentrer aux vestiaires avec l’avantage au tableau d’affichage.

En seconde période, les hommes d’Alain Perrin prenaient à leur tour le jeu à leur compte. Par deux fois, Govou obligeait Mandanda à l’exploit sur des frappes tendues (46e et 52e minute). A la 62e minute, Samir Nasri était idéalement servi par le virevoltant Valbuena, mais sa frappe passait au dessus.

Niang était ensuite tout près du hat-trick mais perdait son duel avec Vercoutre (68e). Ben Arfa puis Benzema donnaient quant à eux par quatre fois des sueurs froides à la défense olympienne (70e, 75e, 86e et 91e minute) mais un Mandanda exceptionnel veillait au grain, permettant à l’OM de renouer enfin avec la victoire.

REUTERS/Robert Pratta ¦ Mamadou Niang, lors du match Lyon-Marseille, au stade Gerland, le 11 novembre 2007.

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Fred Azilazian