nouvo parmis vous et en F1 surtout

kand il parlais des bmw je pense qu il fesait allusion aux sauber
oui effectivement les williams sont ekiper du moteur toyota *



ECURIE - WILLIAMS

Pilotes Nico Rosberg n°16
Alexander Wurz n°17
Kazuri Nakajima

Voiture FW28
Team Manager Frank Williams
Dir. Technique Patrick Head
Le site officiel : http://www.williamsf1.com/


CARACTERISTIQUES DE LA VOITURE
Chassis FW28 Poids 0 kg
Moteur Cosworth Longueur n.c
Pneus Bridgestone Instrumentation
CARACTERISTIQUES DU MOTEUR
Moteur Cosworth Type
Cylindrée n.c Huile

HISTORIQUE PALMARES
Grand Prix courus : 18 Titres Pilotes : 0 Titres Constructeurs : 0

Nb de victoire(s) en Grand Prix 0 % de victoire(s) 0%
Nb de podiums(s) en Grand Prix 0 % de podium(s) 0%
Nb de pole-position(s) en Grand Prix 0 % de pole(s) 0%
Nb de point(s) en Grand Prix 22 Moyenne de point(s) 11

Années Pos. Pts
2006 En 2007, Williams, équipé d’un moteur Toyota, espère entrer dans une nouvelle ère, celle de la reconquête. En attendant, 2006 aura mis en lumière les insuffisances du team britannique pour rivaliser avec les meilleurs. Relativement fiable, la FW28 a pâti d’un manque de vitesse et surtout de la fragilité excessive de son bloc moteur Cosworth. Satisfaction de l’exercice écoulé, l’éclosion au plus haut niveau de Nico Rosberg, lequel fera équipe la saison prochaine avec Alexander Wurz. 8 11

Räikkönen annonce la couleur

La séance de qualification du Grand Prix d'Australie a livré son verdict: Kimi Räikkönen est le premier poleman de l'année. Le successeur de Michael Schumacher dans le baquet de la Ferrari s'est hissé en tête de la feuille de temps devant son principal rival et remplaçant chez McLaren Mercedes, le double champion du monde, Fernando Alonso. Nick Heidfeld place sa BMW en deuxième ligne devant les jeunes loups Lewis Hamilton et Robert Kubica. Victime de soucis de boîte de vitesse, Felipe Massa prendra le départ de la course en queue de peloton.

Iceman, auteur de la pole à Melbourne, ne va pas tarder à conquérir le coeur des tifosi.Vivement dimanche. Le duel annoncé, cette bataille au sommet tant espérée par les observateurs de la F1 à l'aube de la saison 2007, entre Kimi Räikkönen, le successeur de l'icône Michael Schumacher au sein de la Scuderia Ferrari, et celui qui a pris son relais au volant de la McLaren Mercedes, le double champion du monde en titre, Fernando Alonso, aura bien lieu dimanche lors de la première course de la saison à Melbourne. Les deux hommes s'étant installés samedi sur la première ligne de la grille de départ du Grand Prix d'Australie...

Quoi de plus excitant que de retrouver aux avant-postes ces deux pilotes au tempérament aussi contraire que la glace et le feu dès les premiers tours de roues de la saison ? Michael Schumacher peut dormir en paix, la relève est assurée. Et en son absence, la Scuderia Ferrari se porte toujours aussi bien... Si Felipe Massa se contentera de la 16e place sur la grille de départ après s'être arrêté, en raison de problèmes rencontrés avec sa boîte de vitesse, dans la seconde phase de la séance de qualification sans chrono à son actif, Kimi Räikkönen a quant à lui confirmé les attentes qu'avaient fait naître les essais hivernaux. Au point d'envisager la suite du week-end avec optimisme. "Je pense que notre voiture sera plus compétitive en course que sur un tour unique. Les courses sur ce circuit sont souvent chaotiques et on ne sait donc jamais ce qui nous attend. Mais si tout se passe comme nous le souhaitons, nous avons de bonnes chances de gagner", ne cachait pas le Finlandais.

Renault en retrait

Ce dernier devra cependant composer avec un Fernando Alonso qui n'entend pas lâcher sa couronne mondiale sans combattre. L'Espagnol a déjà réussi un exploit de taille: faire de McLaren Mercedes un prétendant à la victoire. Il tentera dimanche d'en réaliser un second en offrant, pour sa première course sous ses nouvelles couleurs, un succès à une équipe bredouille en 2006. Le Taureau des Asturies pourra s'appuyer sur la présence à ses côtés de son jeune coéquipier, Lewis Hamilton. L'Anglais n'en finit plus de surprendre. Lui qui découvre pourtant le tracé d'Albert Park, s'est hissé en deuxième ligne juste derrière Nick Heidfeld à qui il disputera une place sur le podium.

Une lutte à laquelle tenteront de se mêler le Polonais Robert Kubica, l'autre star en devenir des paddocks, et l'Italien Giancarlo Fisichella, sixième sur la grille avec sa Renault. "Une fois de plus, cela a été une séance de qualification difficile mais j'ai surtout le sentiment que nous n'avons pas atteint tout notre maximum cet après-midi", regrettait le Transalpin, faisant peut-être référence à la modeste 13e place décrochée par son coéquipier Heikki Kovalainen. "Je termine comme prévu derrière les McLaren et Ferrari mais je pense que j'aurais pu gagner une ou deux places si je n'avais pas été pris dans le trafic dans mon tour rapide, et notamment dans les trois derniers virages où j'ai perdu beaucoup de temps."

Ce temps, le Transalpin l'aura perdu derrière... Takuma Sato, la surprise de cette séance de qualification. Alors que les monoplaces Super Aguri avait pris la triste habitude de fermer la marche la saison dernière, le Japonais a réussi la performance de se hisser en cinquième ligne. Devant les Honda officielles de Jenson Button et Rubens Barrichello... mais juste derrière les Toyota de Ralf Schumacher et Jarno Trulli, satisfaits d'être en mesure de se battre pour les points.

voici la grille de depart

17/03/2007 à 04h00 : Terminé
Phase 1 | Phase 2 | Phase 3Position Temps Écarts
1 K. Räikkönen 1:26:072
2 F. Alonso 1:26:493 à 0"421
3 N. Heidfeld 1:26:556 à 0"484
4 L. Hamilton 1:26:755 à 0"683
5 R. Kubica 1:27:347 à 1"275
6 G. Fisichella 1:27:634 à 1"562
7 M. Webber 1:27:934 à 1"862
8 J. Trulli 1:28:404 à 2"332
9 R. Schumacher 1:28:692 à 2"620
10 T. Sato 1:28:871 à 2"799
Voiture en dernière position à la phase 2
11 Anthony Davidson
12 Nico Rosberg
13 Heikki Kovalainen
14 Jenson Button
15 Alexander Wurz
16 Felipe Massa
17 Rubens Barrichello
18 Scott Speed
19 David Coulthard
20 Vitantonio Liuzzi
21 Adrian Sutil
22 Christijan Albers




Commentaires
15' Le verdict tombe : c'est Räikkönen qui tient la pole. Il devance Alonso (1'26''493), Heidfeld (1'26''556) et Hamilton (1'26''755), qui ont tous les trois amélioré dans les dernières secondes. Avec le 5e temps de Kubica, BMW confirme son excellente tenue. Fisichella est 6e, devant Webber, Trulli, Ralf Schumacher et Sato.
13' Alonso passe une nouvelle fois à son stand et chausse un nouveau train de pneus, du type plus tendre.
12' Cette fois, c'est Räikkönen le plus rapide : 1'26''072, soit une seconde pleine de mieux qu'Alonso. Peu après, Heidfeld tourne en 1'26''782.
11' Les deux pilotes McLaren s'approprient les deux meilleur temps : 1'27''050 pour Alonso, 1'27''190 pour Hamilton.
10' Alors que Ralf Schumacher tourne en 1'29''650, le premier "vrai" chrono tombe : 1'27''925 pour Fisichella.
8' Les deux pilotes McLaren reviennent à leur stand et changent de pneus. Alonso repart avec le type de gommes plus tendre.

Oui, c'est BMW Sauber, là y'avait pas de problème, c'était juste pour corriger le fait que Williams n'était plus motorisée par BMW.

le baron rouge a écrit:

ECURIE - WILLIAMS

Pilotes Nico Rosberg n°16
Alexander Wurz n°17
Kazuri Nakajima

Voiture FW28

Les pilotes sont bien ceux de '07 mais la voiture par contre c'est celle de '06.
Cette saison c'est la FW29.

Pour la qualif, je me suis endormis à 3h00 pour me réveiller à 5h00 et j'ai juste eu le temps de voir le résultat.
Alonso est trop près à mon gout mais on fera avec. Hamilton et Kubica ont l'air dans le coup aussi. Sato 10ème ! Joli coup pour Aguri. Dommage pour Massa par contre.
Mais ça peut donner une belle remontée et y'a quelques bon devant aussi.

Räikkönen ouvre le bal

Dominateur sur le circuit de l'Albert Park, Kimi Räikkönen a remporté le Grand Prix d'Australie et s'impose donc dès sa première course chez Ferrari. Il devance le double champion du monde en titre, Fernando Alonso, et Lewis Hamilton, qui effectue de brillants débuts en F1. Avec la quatrième place de Nick Heidfeld, BMW réalise une belle entrée en matière, tandis que Renault doit se contenter de la cinquième place de Giancarlo Fisichella. Parti dernier, Felipe Massa a réussi une belle remontée et se classe sixième.

Première course au volant de la Ferrai et première victoire pour Räikkönen.«Iceman» se lâcherait-il ? Habituellement avare de ses paroles, Kimi Räikkönen laisse éclater sa joie à la radio, après avoir franchi la ligne d'arrivée. Dans le parc fermé, il tombe dans les bras de Jean Todt. Et sur le podium, il sourit. Une chose est sûre: son arrivée chez Ferrari l'a transformé. En une seule course avec les Rouges, il a trouvé ce qui lui faisait défaut en 2006 chez McLaren: un matériel compétitif qui lui permet de s'imposer et se positionner déjà en candidat pour le titre.

Profitant au mieux de sa pole position, le Finlandais prend un départ impeccable. Installé en tête, il ne cède le commandement que pour les ravitaillements. Bien que rapides, les McLaren-Mercedes ne sont pas en mesure de l'inquiéter. En fait, il ne se fait qu'une seule frayeur: au 47e tour, il rate un freinage et se retrouve au large dans un virage serré, avec deux roues sur le bas-côté. Il poursuit sa route en ayant simplement perdu un petit peu de temps.

L'après-Schumacher a commencé

Sa nette victoire et le meilleur tour en course signé au 41e passage prouvent deux choses: la F2007 est la monoplace à battre, et la Scuderia est capable de gérer l'après-Michael Schumacher. L'équipe de Maranello doit tout de même nourrir des regrets à propos de Felipe Massa. Seizième en qualifications à cause d'une défaillance de sa boîte de vitesses, le Brésilien est finalement parti dernier après avoir changé de moteur. Au terme de 58 tours de lutte âpre (notamment contre les Honda), Massa est remonté au sixième rang. Mais il sait qu'il a le potentiel pour faire beaucoup mieux.

Ferrari est aux avant-postes, donc, mais elle devra tout de même compter avec McLaren-Mercedes. Dépassée en 2006, l'équipe de Ron Dennis a retrouvé un nouveau souffle et peut compter sur un duo de pilotes de choc. S'il a raté son départ (il était quatrième au premier virage), Fernando Alonso a pris le dessus sur Nick Heidfeld et sur son coéquipier à la faveur des arrêts aux stands. S'il n'était pas en mesure de menacer Räikkönen, il a conquis sa deuxième place avec sa maîtrise habituelle. Il lui a fallu tout de même attaquer fort pour terminer devant Lewis Hamilton. Eblouissant (malgré quelques petites erreurs), le jeune Britannique a réussi des débuts tonitruants en F1.

Week-end difficile pour Renault

Iceman s'est élancé le premier et a conservé sa place jusqu'à la ligne.Chez Renault, en revanche, on se prépare à une saison difficile. Giancarlo Fisichella n'a pas pu faire mieux que cinquième. Il termine à 27"7 de la BMW de Nick Heidfeld et a dû sortir le grand jeu pour résister à Massa en fin de course. Quant à Heikki Kovalainen, son premier Grand Prix a été mouvementé: beaucoup de lutte dans le peloton, quelques erreurs (dont un tête-à-queue) et une 10e place à l'arrivée. "Cette après-midi nous a montré que nous avons beaucoup de travail pour redevenir compétitifs", admet Flavio Briatore.

Les difficultés de l'écurie championne en titre font en tout cas le bonheur de BMW, qui a confirmé sur l'Albert Park le potentiel affiché lors des essais hivernaux. Les deux voitures auraient pu terminer dans les points si Robert Kubica (alors 4e) n'avait pas été contraint à l'abandon au 37e tour sur défaillance technique. Plus loin, Nico Rosberg termine à une septième place conquise de haute lutte contre Ralf Schumacher, qui hérite donc du point de la huitième place. Le pilote Williams a eu plus de chance que son équipier Alexander Wurz, percuté par David Coulthard lors d'une tentative de dépassement.

La saison 2007 a démarré sur une lutte entre Ferrari et McLaren-Mercedes. Une confrontation salivante, qui le sera encore plus si Renault réussit à revenir dans le coup.

Honda fait le dos rond


La première course en Australie aura permis à Honda de prendre brutalement contact avec la réalité. Une qualification très décevante, une course moyenne et des perspectives floues. Voilà le triste bilan tiré par Barrichello 11e et Button 15e. Honda a tout simplement manqué son envol à Albert Park. Le premier révélateur lui aura été clairement défavorable au point de voir les Super Aguri-Honda faire mieux en qualifications et à peine moins bien en course. Il y a du travail mais l'écurie japonaise prétend connaître le chemin à suivre.

Button et Barrichello toisés par Sato, c'est une des images de ce Grand Prix."On ne peut pas dire que la journée ou les résultats aient été bons." Jenson Button avait la mine renfrognée des mauvais jours à l'issue du Grand Prix d'Australie. Un premier week-end de course particulièrement dur à digérer pour le pilote britannique. Si l'on n'attendait pas le constructeur japonais jouer les premiers rôles, voir Barrichello et Button relégués en queue de peloton avait de quoi surprendre. Le comble se produira durant le début du week-end avec en point d'orgue les qualifications de samedi avec les Super Aguri qui auront damé le pion à leurs grandes soeurs !

Un comble quand on sait que les monoplaces d'Aguri Suzuki sont des copies soignées des Honda de la saison dernière... Dans cette optique, voire Takuma Sato 10e et Anthony Davidson 11e quand Button et Barrichello se contentaient des 14e et 17e place sur la grille prêtait forcément à la moquerie... On prête d'ailleurs au Britannique d'avoir répondu qu'il avait réalisé la pole position avec cette monoplace la saison précédente... Un bon mot qui ne changeait cependant pas la vérité sur les performances des RA 107.

Réagir en Malaisie

En course, Rubens Barrichello aura tout de même réussi à remonter à la onzième place tandis que Jenson Button échouait au quinzième rang après une pénalité pour vitesse excessive dans les stands mais aussi et surtout un fort sous-virage. "Lors de mon premier arrêt, j'ai demandé des corrections sur mon aileron avant, mais l'équipe n'a pas pu répondre à ma requête. Lors de mon arrêt suivant, il a fallu apporter ces corrections d'aileron, mais cela n'a fait aucune différence pendant la suite de la course. Par conséquent, le problème est peut-être aérodynamique. Si c'est le cas, nous pourrons résoudre le problème rapidement et efficacement", expliquait Button après coup.

Un espoir pour les Honda Boys forcément enclin à oublier rapidement cette étape pour mieux se projeter vers l'avenir. "Nous savons tout de même quel est notre problème et comment le résoudre d'ici la prochaine épreuve. Je suis persuadé que nous pouvons faire des progrès d'ici la Malaisie", promet d'ailleurs Rubens Barrichello. Les prochains essais privés revêtiront forcément une importance toute particulière pour Honda. Car rééditer une telle performance à Sepang ferait vraiment mauvais effet...

C'était plutot une bonne course, même si y'a pas eu vraiment de grandes bagarres.
Hamilton m'a bien impressionné malgré le fait qu'il ait déjà un joli palamarès, pour moi il a dominé Alonso, qui sans une stratégie plus favorable n'aurait pas repasser devant lui.
Dommage pour Kubica, la mécanique l'a trahi, j'espère qu'il finira la suivante.
Massa fini 6ème, malgré le fait qu'il se soit fait prendre un tour par Kimi, c'est tout bon pour Ferrari et bien sur Bravo a kimi qui gagne enfin, depuis Suzuka '05 je pense bien qu'il soit content d'être de nouveau sur la plus haute marche du podium.

Wurz a eu chaud aussi dans son accrochage avec DC

Massa veut sa revanche


Felipe Massa n'a pas dit son dernier mot. Si la fiabilité a eu raison de ses envies de victoire en Australie, le Brésilien sait pertinemment que le niveau de performance de sa Ferrari lui ouvre des horizons plutôt joyeux. Sixième à Melbourne, Massa avait d'ailleurs réussi un retour très intéressant et assuré le minimum en empochant trois points. Parti au Brésil durant la coupure, le pilote auriverde sera en piste à Sepang, puis à Barcelone, pour des essais privés avant de se lancer vers un Grand Prix de Malaisie qui le motive grandement.

Réconforté par Todt, Massa pense déjà à la prochaine course.Une première hiérarchie s'est dessinée à Albert Park. Et incontestablement celle-ci place Ferrari tout en haut de l'affiche. Une nouvelle forcément agréable pour toute la Scuderia Ferrari et notamment pour son duo de pilotes Räikkönen-Massa. Le Finlandais, victorieux en Australie, aura évidemment apprécié ce départ en fanfare, prenant du même un coup une légère avance sur son coéquipier. Mais après une déception relativement logique, le Brésilien a repris le dessus pour tirer beaucoup d'enseignements positifs de sa sixième place.

Car en partant du fond de la grille, l'ancien lieutenant de Michael Schumacher ne pouvait guère espérer mieux. "C'est encourageant pour la suite de la saison, confirme-t-il sur son site internet. Il est évident que j'étais compétitif dès les premiers tours du vendredi." Rapide et efficace, Massa connaît la chanson. Et il sait que la saison sera longue. Dans cette optique, avoir su grappiller trois points malgré son incident en qualifications ne peut que le satisfaire et le gonfler à bloc avant les prochaines échéances.

Brésil, Sepang, puis Barcelone

Parti au Brésil pendant la trêve "mais pas à Sao Paulo, chez un ami dans le centre du pays où il fait très chaud. C'était un choix délibéré pour me préparer aux conditions chaudes et humides que nous retrouverons en Malaisie", confie Felipe Massa. Après cette préparation, il va retrouver toute l'équipe à Sepang pour des essais privés avant de filer à Barcelone. "Je ferai seulement le dernier jour d'essais à Sepang et Kimi fera les deux premiers jours et inversement à Barcelone. Le temps sera divisé équitablement", précise le pilote Ferrari.

Des essais privés que toutes les équipes mettront à profit pour tenter de revenir sur l'équipe de tête. "McLaren est un peu mieux que les autres mais derrière la Scuderia, et ensuite il y a BMW. J'espère que ça restera comme ça pour les prochaines courses", reconnaît Felipe Massa. Sûr de ses capacités, il attend désormais un affrontement direct avec son équipier. Avec la victoire en perspective...

Il a bien raison Massa de rester motiver ! Et je suis sur que sans son problème aux qualifs, il aurait fait une très belle course.
Tout point est bon à prendre et pourra faire la différence au final.

McLaren c'est montré performant et fiable pour cette première course, c'est de bonne augure pour leur saison. Reste à voir si ça va continuer. Je vous cache pas que quelques abandons pour Alonso me ferait le plus grand plaisir !

BMW a bien fait d'investir autant dans leur soufflerie, ça paye apparement !
Et ça me fait plaisir de voir BMW sur les devant, j'espère que Kubica sera plus chanceux à l'avenir.

Pas de GP de France en 2008 !

La nouvelle a été confirmée. Les organisateurs et promoteurs du Grand Prix de France ont décidé «à l'unanimité de suspendre l'inscription au calendrier 2008 tant que les conditions nécessaires ne seront pas requises», annonce un communiqué. Cela ne remet pas en question le Grand Prix qui se déroulera le 1er juillet prochain. En revanche, bien que le site de Magny-Cours possède un accord jusqu'en 2009 avec la FOM (société qui gère les intérêts de la F1), les capacités d'accueil et d'accessibilité posent de réels problèmes...

Le Grand Prix France n'aura pas lieu en 2008. Et en 2009 ?Il n'y aura pas de Grand Prix de France en 2008. La nouvelle, parue sur plusieurs supports ce jeudi, a été confirmée par les organisateurs eux-mêmes. Il ne s'agit pas de tirer un trait définitif sur la Formule 1 en France comme certaines rumeurs l'avaient laissé entendre l'année dernière en mettant en exergue la présence d'un Grand Prix à Monaco et à Magny-Cours, mais bel et bien de préparer l'avenir.

"La FFSA, organisateur et promoteur de l'événement, tient à préciser que son Comité directeur, réuni le 21 mars dernier, a décidé, à l'unanimité, de suspendre l'inscription du Grand Prix de France au calendrier 2008, dans la mesure où les conditions de réussite n'étaient pas toutes réunies", précise un communiqué. Il ne s'agit donc pas du circuit en lui-même mais bel et bien de l'environnement.

Une délocalisation en 2009 ?

Le comité directeur de la FFSA (Fédération Française du Sport Automobile) a donc jugé utile de faire une « pause » en 2008 arguant des difficultés récurrentes autour du circuit de Nevers-Magny-Cours, autrement dit une capacité d'accueil (hôtellerie) très largement insuffisante mais également des difficultés d'accès qui engendrent des embouteillages monstres depuis plusieurs années déjà. Pour agir au plus vite, le meilleur moyen semblait donc de botter en touche. Pour un an.

Malgré cette pause, il n'y a aucune chance pour que l'Autoroute A77 soit terminée en 2009 puisque les premières études archéologiques concernant la prolongation de la voie viennent tout juste de commencer, selon L'Equipe. Une information pas vraiment anodine puisqu'une année de transition ne modifierait en rien la donne. D'où l'idée largement relayée d'une délocalisation à partir de 2009.

Afin de couper court à toutes les spéculations, la FFSA a expliqué que son " Comité directeur procèdera à un réexamen de la situation lors de sa prochaine réunion de juillet 2007." Quoiqu'il en soit, la Nièvre qui subventionne en partie le Grand Prix n'a aucunement l'intention de laisser filer le GP de France sur un autre circuit. Et elle compte bien le faire savoir...

Bonne et mauvaise nouvelle !

- Mauvaise car ça fait un Gp en moins sur la saison alors ! Il aurait pû aller au Paul Ricard qui pour moi est bien plus intéressant que Magny-Cours.
- Bonne car y'a plus Magny-Cours, moi je trouve ce tracé assez inintéressant mis à part la courbe d'Estoril, le reste est un enchainement de courte ligne droite et de chicane.

Alonso en totale maîtrise

La course à la loupe

Le Taureau des Asturies a remporté son premier Grand Prix avec McLaren Mercedes, dimanche en Malaisie. Alonso a pris un départ parfait avant de s'envoler vers un succès qui le propulse en tête du championnat. L'autre bonne pioche est à mettre au crédit d'Hamilton, superbe en piste et dauphin de l'Espagnol. Räikkönen (Ferrari) limite la casse en grimpant sur le podium. Mauvaise nouvelle pour Massa parti à la faute et qui termine 5e derrière Heidfeld (BMW). A noter les 6e et 8e place de Fisichella et Kovalainen.

Alonso a réalisé le départ parfait au GP de Malaisie.Le clan McLaren est en ébullition. Ron Dennis a un sourire franc et massif qui lui barre le visage! Un vrai symbole après un doublé inattendu et prometteur. Car les deux pilotes des Gris-Argent ont réalisé une course pleine de maîtrise, notamment marquée par un départ absolument superbe. Avec Felipe Massa en pole et Kimi Räikkönen troisième sur la grille, on n'imaginait pas que le Taureau des Asturies, qui a su coincer Felipe Massa, mais surtout Lewis Hamilton, qui a profité de la lutte entre Alonso et Massa pour s'infiltrer à l'intérieur et piéger les deux Ferrari, allaient parader en tête après trois virages!

Cet envol aura une importance décisive sur la physionomie de ce Grand Prix. Car avec le double champion du monde en tête et son coéquipier pour faire barrage aux deux Ferrari, la position était idéale. Et à ceux qui attendaient de voir pour connaître la vraie valeur de Lewis Hamilton, la réponse a été cinglante. Au quatrième tour, Felipe Massa prend l'aspiration dans la longue ligne droite, il se décale, se place à hauteur de son jeune rival mais ne passe pas car Hamilton, avec le sang-froid d'un pilote chevronné, lui ferme la porte. Le Brésilien repasse dans les virages suivants en plongeant à l'intérieur mais il est un poil trop rapide et Hamilton reprend l'avantage!

Hamilton assure le doublé

Deux tours plus tard, Massa est toujours collé aux basques du pilote McLaren et c'est lui qui va partir à la faute. Un freinage ultra tardif d'Hamilton pour résister au Brésilien qui freine encore plus loin. Trop loin cependant et la Ferrari file dans l'herbe, perdant sur le coup tout espoir de victoire... Car devant Fernando Alonso file grand train et aligne les meilleurs tours en course jusqu'au premier ravitaillement. Un premier arrêt rocambolesque: la radio du double champion du monde ne fonctionnant pas, Ron Dennis en personne se penche sur le muret pour lui faire signe de rentrer.

Une fois sa monoplace immobilisée, Alonso confirme qu'il n'a pas de radio. Dans le même tour, Räikkönen passe aussi à la pompe et c'est Hamilton qui se retrouve en tête de la course. Comme en Australie! La physionomie de la course est désormais claire mais pas figée. Car si le doublé prend forme au fil des tours, Kimi Räikkönen, plus rapide qu'Hamilton avec les pneus durs montés par tous les cadors pour le dernier relais, se rapproche sur la fin. Le nouveau règlement impose d'utiliser les pneus durs comme les pneus tendres en course. En Malaisie, les pilotes de tête ont débuté en pneus tendres et terminé en durs.

Renault limite la casse

"Iceman" reviendra dans le sillage d'Hamilton dans les derniers hectomètres de course mais sans jamais réellement le menacer. Alonso et Hamilton offrent donc un doublé à McLaren Mercedes tandis que Räikkönen complète le podium. Finalement, la vraie déception de cette course est à mettre au crédit de Felipe Massa qui a craqué et termine finalement derrière un Nick Heidfeld, qui a confirmé l'excellente tenue des BMW.

Une performance de BMW qui souligne à elle seule tout le travail qui reste à produire pour les Renault Boys. Malgré tout, ils ont tout de même disputé une course intéressante qui leur aura permis de clairement limiter la casse après une qualification décevante avec les 11e et 12e place sur la grille. Un désavantage annulé par un super départ de Fisichella, qui pointe au 8e rang en un demi tour! Constants sur les longs relais, Fisico et Kovalainen vont grappiller quelques places notamment après l'abandon de Rosberg (Williams), pourtant auteur d'une belle course, ou un premier arrêt de 14''3 de Kubica
.
Au final, avec Fisichella 6e et Kovalainen 8e, Renault assure quatre points et reste dans le coup. C'est déjà ça...

Belle victoire pour fonso à Sepang mais la course a été chiante quand même, une fois que Massa s'est vautré y'a plus eu grand chose.

J'espère qu'ici, à Shakir, y'aura un peu plus de bagarres en piste.
Hamilton m'épate vraiment, ça doit être le meilleur rookie que j'ai vu en F1, il a une très bonne voiture c'est vrai mais faut quand même le faire ce qu'il fait là.
On retrouve encore les deux premières liges partagée par Ferrari et McLaren, suivis par les deux BMW, c'est de bonne augure pour la course.

À demain pour le départ à je sais pas encore quelle heure ?

Un premier pas pour Massa

Désireux de se racheter après deux premières courses décevantes, Felipe Massa est en passe de réussir son pari au volant de la Ferrari. Le Brésilien a signé samedi la pole position du Grand Prix de Bahreïn devant Lewis Hamilton qui se hisse pour la première fois en première ligne. Même configuration en seconde ligne où l'on retrouve la Ferrari de Kimi Räikkönen, devant la McLaren de Fernando Alonso. Derrière les BMW de Nick Heidfeld et de Robert Kubica, Giancarlo Fisichella a placé sa Renault au septième rang.

Felipe Massa a décroché sur la piste de Sakhir sa deuxième pole consécutive. Qu'on se le dise, la saison 2007 ne se résumera pas à un duel entre Kimi Räikkönen d'un côté et Fernando Alonso de l'autre. Si les deux hommes se sont partagé les deux premières courses de la saison, leurs coéquipiers au sein de la Scuderia Ferrari et de l'écurie McLaren Mercedes ne se contenteront pas des miettes laissées par les deux stars de la Formule 1. Que ce soit Felipe Massa, adoubé par Michael Schumacher et favori de Bernie Ecclestone pour le titre, ou Lewis Hamilton, qui pourrait entrer dans l'histoire en devenant le premier novice à signer trois podiums consécutifs pour ses débuts dans la discipline, les supposés second-couteaux des deux écuries phares de ce début de saison ont les crocs.

Les deux pilotes ont affiché leurs ambitions en se hissant samedi en première ligne du Grand Prix de Bahreïn. Une deuxième pole consécutive, dans la foulée de celle obtenue à Sepang, pour Felipe Massa qui espère enfin concrétiser en course le potentiel de sa F2007 après avoir raté son départ en Malaisie. Pour Lewis Hamilton, cette deuxième place sur la grille de départ constitue tout simplement son meilleur résultat, le protégé de Ron Dennis devançant pour la première fois son coéquipier en qualification. Preuve de sa maturité, le jeune Anglais n'a pas hésité dans les derniers instants de cette séance qualificative à demander à la radio dans quels secteurs ils devaient pousser sa monoplace.

Fisichella par la petite porte

Une étude de son tour qui lui a permis de devancer Kimi Räikkönen et Fernando Alonso, respectivement troisième et quatrième sur la grille de départ. "Il sera intéressant de voir ce qui va se passer dans le premier virage. Il nous faudra faire en sorte de le franchir sans dommage", prévient déjà Hamilton.. Derrière, Nick Heidfeld et Robert Kubica tenteront, comme en Malaisie, de confirmer leur statut de troisième force. "Je suis très content du résultat de nos deux pilotes. C'est la troisième fois de suite que nous nous qualifions bien, se félicitait Mario Thiessen, le directeur de l'équipe. Je suis aussi ravi du fait que nous n'avons dû sortir qu'une seule fois lors de la seconde phase des qualifications pour pouvoir participer à la phase finale. En course, nous verrons quand les voitures qui nous précèdent sur la grille rentreront pour leur premier ravitaillement..." Selon la stratégie adoptée par leurs prédécesseurs, les BMW pourraient en effet réussir à se glisser entre les Rouge et les Gris-Argent.

La mission semble impossible pour Giancarlo Fisichella déjà tout heureux d'avoir placé sa Renault au septième rang après s'être qualifié in extremis pour la troisième phase de la qualification: "J'ai la sensation d'avoir fait mon maximum aujourd'hui. C'est tellement serré pour nous pour entrer dans le Top 10. Ensuite, j'ai réussi à me qualifier 7ème, devant nos concurrents directs. C'est le meilleur départ pour notre week-end". Autre Italien satisfait, Jarno Trulli, qui partagera la quatrième ligne avec son ancien coéquipier chez Renault. "C'est bon d'être encore dans les dix premiers, mais que c'était dur, soufflait le Transalpin de Toyota. Je suis parvenu à faire du bon travail dans la deuxième phase, mais nous avons eu du mal à faire plus dans le dernier quart d'heure. C'était difficile car ça glissait pas mal. Tout le week-end, j'ai lutté pour trouver un bon équilibre et de l'adhérence." Le plus dur reste à faire en course.

Massa: "C'est très excitant"

Trahi par sa mécanique en Australie, coupable de petites erreurs en Malaisie, Felipe Massa a retrouvé le sourire ce week-end. Déjà auteur de la pole, le Brésilien a réalisé dimanche une course parfaite, contenant notamment Lewis Hamilton, pour signer à Bahreïn sa première victoire de la saison. Après trois courses, le pilote Ferrari revient à cinq points de la tête du championnat du monde occupée par trois hommes: Kimi Räikkönen, Fernando Alonso et Lewis Hamilton. Conscient du danger que représente McLaren, Massa insiste sur la nécessité de continuer à travailler.

Les bras au ciel, Massa savoure sa première victoire de la saison.Felipe, c'est un grand jour pour vous après la Malaisie. Un dimanche parfait pour vous ?
Superbe. Nous avons maintenant quatre semaines de pause dans la saison pour apprécier cette belle victoire. Les résultats des deux premières courses n'ont pas atteint mon niveau d'espérance. La vitesse était là mais il nous a manqué un petit quelque chose notamment lors du premier Grand Prix. Cette fois, tout a été réuni et je suis vraiment heureux pour toute l'équipe après le travail qu'ils ont réalisé. Mais, on doit encore continuer de progresser car McLaren est vraiment très proche.

Comment avez-vous appréhendé le départ après tout ce qui a été dit dans la presse cette semaine ?
La meilleure réponse à apporter était de prendre un bon départ après tous les commentaires faits depuis la Malaisie. Puis de faire une bonne course et de finir devant. Je pense qu'ils vont tenir un discours différent désormais.

"McLaren est très proche"

Vous aviez l'air de contrôler la course mais Lewis Hamilton est revenu très fort en fin de course. Comment avez-vous ressenti cette pression ?
Dans le premier relais, ma voiture n'était pas très bien équilibrée, je souffrais de survirage. Lewis était assez proche de moi avant le premier ravitaillement mais j'étais beaucoup mieux dans le second. La voiture marchait très, très bien avec les pneus tendres. J'ai enlevé un peu d'appuis à l'avant, la voiture était plus facile à conduire et j'ai pu creuser l'écart. Dans le dernier relais, avec les pneus durs, je me suis contenté de maintenir un bon rythme, de faire mon trou au milieu du trafic.

Comment se comportait votre monoplace en pneus durs ? La McLaren paraissait plus rapide que la Ferrari, non ?
Peut-être un peu mais je n'ai pas poussé autant que j'aurais pu. Je pense que je pouvais gagner trois ou quatre dixièmes au tour mais ce n'était pas nécessaire.

Vous avez perdu une seconde sur un tour dans le dernier relais...
Oui, j'ai freiné une peu tard, bloquant les roues pour finir dans la partie sale de la piste. Heureusement, je n'ai pas perdu qu'une seconde.

Avant le GP d'Espagne dans quatre semaines, trois pilotes se partagent la tête du championnat du monde. Vous êtes juste derrière ce trio de tête. La saison s'annonce serrée ?
Oui, c'est très serré et très excitant. Ferrari et McLaren sont très proches. C'est très important pour nous de continuer à travailler pour essayer d'améliorer la monoplace, de se pencher sur le moindre détail car la saison ne va pas se jouer à grand-chose. Ce sera important de ne pas rater la moindre occasion.

Un GP de nuit, c'est pas fait !



Un Grand Prix de nuit aurait fière allure. Bernie Ecclestone en est convaincu. Après avoir multiplié les nouvelles destinations au calendrier, le grand argentier de la F1 souhaite ardemment mettre en place une course en nocturne. Une envie qui n'a pas fait que des heureux. Fernando Alonso, double champion du monde en titre, est farouchement... contre. Même son de cloche du côté du président de la FIA, Max Mosley, qui, avant même que l'idée ne lui soit officiellement soumise, pose déjà des réserves.

Alonso a roulé de nuit à Valence. Il n'aime pas...L'idée de courses en nocturne commence à faire son chemin. Un chemin, long, sinueux, tortueux, semé d'embûches en tout genre. Mais cette perspective, si elle ne plaît pas à tout le monde possède un atout maître: Bernie Ecclestone. Et quand il veut quelque chose, les points de résistance deviennent subitement bien plus abordables... Evidemment, le projet n'est pas encore en phase de finalisation, loin de là.

Et les quelques réactions épidermiques qu'il peut susciter laissent à penser qu'il faudra avancer sur la pointe des pieds. Interrogé il y a quelques semaines sur le sujet, Fernando Alonso, double champion du monde en titre avait bondi au plafond exprimant un rejet immédiat. "S'ils veulent que nous nous lancions à 300km/h sur la piste en nocturne, il va falloir qu'elle soit sacrément éclairée. Ce n'est pas un match de foot mais une course de F1", expliquait-il alors.

"La F1 peut parfois être surprenante Alonso

Un jugement qu'il a affiné et qui ne laisse aucune place au doute: "J'ai fait une exhibition à Valence lors de la présentation de la monoplace en janvier, raconte le pilote des Asturies à Marca. C'était de nuit et il était extrêmement difficile de voir le tracé. Pour moi, c'est compliqué de croire d'installer des luminaires avec lesquels on voit parfaitement pour faire une course. Mais la F1 peut parfois être surprenante. Du point de vue des pilotes, c'est peut-être mieux de ne rien dire avant de piloter..."

Le double champion du monde espagnol n'a pas forcément été très suivi sur le sujet par ses collègues pilotes. En revanche, Max Mosley, le président de la FIA a apporté un son de cloche particulièrement prudent. "Nous ne donnerons notre feu vert sans effectuer au préalable d'une enquête très minutieuse. Nous avons une commission de sécurité qui étudie spécifiquement ces problèmes . Elle préconisera certainement un nombre de recommandations et de mesures à prendre avant de donner son aval. Il s'agirait d'un changement majeur et nous ne voulons pas commettre d'erreur", confirme Max Mosley.

Il faudra assurément toute la force de Bernie Ecclestone pour faire entendre son point de vue. Mais avec lui...

Sur ce point je suis d'accord avec Alonso, je trouve ça stupide comme idée.
Ecclestone ne sait plus quoi inventer pour se faire du pognion avec la F1.
Une course de nuit qui se retrouverait éclairée, pour ça y roule en journée comme d'habitude et c'est bon. À moins qu'il ne mette un phare sur les monoplaces !
Et aussi ça représente un danger de plus pour les pilotes alors qu'ils ont tués tout les circuits en mettant des chicanes pour la sécurité justement.

Moi je vois pas trop l'intérêt.